Valy Touré, président de l'UHR
Présidentielle 2025 : L’UHR propose 10 clés pour un scrutin crédible et apaisé
À moins de quatre mois de l’élection présidentielle du 25 octobre 2025, l’Union des Houphouëtistes pour la République (UHR) est montée au créneau.
À l’occasion d’une conférence de presse tenue récemment, ce parti politique se réclamant de l’héritage d’Houphouët-Boigny a livré une série de propositions concrètes pour garantir un scrutin transparent, équitable et porteur de paix.
Rappelant les douloureuses expériences électorales vécues par la Côte d’Ivoire de 1990 à 2020 – tensions ethniques, exclusions, fraudes, violences, crises post-électorales – l’UHR a dressé un tableau lucide des travers du passé, afin de mieux orienter l’avenir. « Plus jamais ça », a martelé le porte-parole du parti, appelant à rompre définitivement avec le cycle des élections conflictuelles.
Selon son président Valy Touré, l’UHR propose ainsi dix mesures phares pour assurer la crédibilité du processus électoral et préserver la cohésion nationale. Parmi elles : le respect strict du calendrier constitutionnel, l’inclusion de tous les candidats éligibles sans exclusion arbitraire, la transparence des organes électoraux, une sécurité impartiale assurée par les forces de l’ordre, ainsi qu’un pacte de fair-play républicain à signer par tous les candidats.
Le parti insiste également sur le rôle des médias, appelés à se montrer responsables dans le traitement de l’information, ainsi que sur la nécessité d’une vaste campagne nationale de sensibilisation à la paix et à l’unité, portée par les leaders traditionnels, religieux, culturels et politiques.
Enfin, l’UHR invite le Président en exercice à donner des gages d’impartialité et à initier une grande concertation post-électorale inclusive pour consolider durablement la démocratie.
Fidèle à la philosophie du « dialogue comme arme des forts » chère au père fondateur, l’UHR tend la main à l’ensemble des forces vives du pays. « Oui, il est possible que l’élection de 2025 se passe bien. Cela dépend de notre maturité et de notre amour pour la Côte d’Ivoire », a conclu le parti.
Rappelant les douloureuses expériences électorales vécues par la Côte d’Ivoire de 1990 à 2020 – tensions ethniques, exclusions, fraudes, violences, crises post-électorales – l’UHR a dressé un tableau lucide des travers du passé, afin de mieux orienter l’avenir. « Plus jamais ça », a martelé le porte-parole du parti, appelant à rompre définitivement avec le cycle des élections conflictuelles.
Selon son président Valy Touré, l’UHR propose ainsi dix mesures phares pour assurer la crédibilité du processus électoral et préserver la cohésion nationale. Parmi elles : le respect strict du calendrier constitutionnel, l’inclusion de tous les candidats éligibles sans exclusion arbitraire, la transparence des organes électoraux, une sécurité impartiale assurée par les forces de l’ordre, ainsi qu’un pacte de fair-play républicain à signer par tous les candidats.
Le parti insiste également sur le rôle des médias, appelés à se montrer responsables dans le traitement de l’information, ainsi que sur la nécessité d’une vaste campagne nationale de sensibilisation à la paix et à l’unité, portée par les leaders traditionnels, religieux, culturels et politiques.
Enfin, l’UHR invite le Président en exercice à donner des gages d’impartialité et à initier une grande concertation post-électorale inclusive pour consolider durablement la démocratie.
Fidèle à la philosophie du « dialogue comme arme des forts » chère au père fondateur, l’UHR tend la main à l’ensemble des forces vives du pays. « Oui, il est possible que l’élection de 2025 se passe bien. Cela dépend de notre maturité et de notre amour pour la Côte d’Ivoire », a conclu le parti.