Les membres du gouvernement Kobenan Kouassi Adjoumani et Souleymane Diarrassouba ont honoré la mémoire du défunt. (Ph: Dr)
Les membres du gouvernement Kobenan Kouassi Adjoumani et Souleymane Diarrassouba ont honoré la mémoire du défunt. (Ph: Dr)
Tanda/Obsèques : Broukro rend hommage à son chef, Nanan Djanfi II
Le chef du village de Broukro (Tanda), Michel Kouamé, de son nom de règne Nanan Djanfi II, a reçu les hommages dignes de son rang, le 18 juillet, à Broukro. Une localité qu’il a dirigée de 2013 à 2025.
Cet hommage s’est déroulé en présence du ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, et des membres de la famille du défunt.
Selon une note d’information, les funérailles du 7e chef dudit village ont eu lieu dans la pure tradition et ont mis en évidence la riche culture des agni-bona.
Ces funérailles ont mobilisé les autorités administratives, politiques, traditionnelles et cadres de la région du Gontougo, avec à leur tête le ministre d’État Kobenan Kouassi Adjoumani, président du conseil régional du Gontougo ainsi que plusieurs dignitaires du royaume bron et des chefs de province et de village. À eux s’ajoutaient de fortes délégations venues du Ghana.
La cérémonie a été marquée par des danses traditionnelles des peuples bron et agni-bona et une série de témoignages attestant les qualités humaines et sociales de Nanan Djanfi II.
Kobenan Kouassi Adjoumani a souligné que le défunt et lui avaient des liens étroits de fraternité. Car il était plus qu’un conseiller indispensable pour le conseil régional dans sa politique en faveur des populations du Gontougo.
Dans son oraison, il a fait un plaidoyer pour le respect de la tradition dont le défunt chef s’était fait l’apôtre tout le long de son règne. Il a exprimé sa gratitude au ministre Souleymane Diarrassouba et à son épouse pour l’amour filial qu’ils ont apporté à Nanan Djanfi II jusqu’à son rappel à Dieu.
L’hommage de Broukro a eu lieu après celui de la nation, le 15 mai dernier, au siège du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) dont il était membre. C’était en présence du président de l’institution, Dr. Aka Aouélé et du Grand Chancelier de l’Ordre national, Ally Coulibaly.
Nanan Djanfi II a été un journaliste d’exception. Avec une plume entièrement au service du pays. Ancien directeur général de Fraternité Matin, il a marqué plusieurs générations de journalistes.
Selon une note d’information, les funérailles du 7e chef dudit village ont eu lieu dans la pure tradition et ont mis en évidence la riche culture des agni-bona.
Ces funérailles ont mobilisé les autorités administratives, politiques, traditionnelles et cadres de la région du Gontougo, avec à leur tête le ministre d’État Kobenan Kouassi Adjoumani, président du conseil régional du Gontougo ainsi que plusieurs dignitaires du royaume bron et des chefs de province et de village. À eux s’ajoutaient de fortes délégations venues du Ghana.
La cérémonie a été marquée par des danses traditionnelles des peuples bron et agni-bona et une série de témoignages attestant les qualités humaines et sociales de Nanan Djanfi II.
Kobenan Kouassi Adjoumani a souligné que le défunt et lui avaient des liens étroits de fraternité. Car il était plus qu’un conseiller indispensable pour le conseil régional dans sa politique en faveur des populations du Gontougo.
Dans son oraison, il a fait un plaidoyer pour le respect de la tradition dont le défunt chef s’était fait l’apôtre tout le long de son règne. Il a exprimé sa gratitude au ministre Souleymane Diarrassouba et à son épouse pour l’amour filial qu’ils ont apporté à Nanan Djanfi II jusqu’à son rappel à Dieu.
L’hommage de Broukro a eu lieu après celui de la nation, le 15 mai dernier, au siège du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) dont il était membre. C’était en présence du président de l’institution, Dr. Aka Aouélé et du Grand Chancelier de l’Ordre national, Ally Coulibaly.
Nanan Djanfi II a été un journaliste d’exception. Avec une plume entièrement au service du pays. Ancien directeur général de Fraternité Matin, il a marqué plusieurs générations de journalistes.