
Les participants à l’atelier sont essentiellement des chefs coutumiers, des chefs de terre, des représentantes de groupements de femmes, ainsi que des représentants de la jeunesse issus des zones cacaoyères du pays. (Ph: Dr)
Les participants à l’atelier sont essentiellement des chefs coutumiers, des chefs de terre, des représentantes de groupements de femmes, ainsi que des représentants de la jeunesse issus des zones cacaoyères du pays. (Ph: Dr)
Soubré: Des leaders communautaires s’engagent pour les droits fonciers des femmes en zones cacaoyères
Une trentaine de leaders communautaires issus des zones cacaoyères de Côte d’Ivoire ont pris part les 9 et 10 juillet 2025, à Soubré, capitale de la région de la Nawa, à un atelier de plaidoyer axé sur la masculinité positive et les droits fonciers des femmes et des filles.
Initié par l’Ong internationale Socodevi et la Fondation Paul Gérin-Lajoie, en partenariat avec le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (Mffe), l’atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’Initiative femmes et communautés cacaoyères (Ifcc), un projet quinquennal financé par Affaires mondiales Canada (Amc).
Les participants sont essentiellement des chefs coutumiers, des chefs de terre, des représentantes de groupements de femmes, ainsi que des représentants de la jeunesse.
Au cours de ces deux journées d’échanges, ils ont analysé les obstacles socio-culturels à l’accès des femmes au foncier. Ils ont également partagé des expériences inspirantes issues de leurs propres communautés. La rencontre a également permis d’identifier des actions concrètes à entreprendre, ainsi que les leviers sociaux et traditionnels, pouvant favoriser l’accès équitable et durable des femmes à la terre.
À l’issue des travaux, les participants ont élaboré un plan d’action en faveur de l’amélioration des droits fonciers des femmes et des filles.
En effet, il ressort des échanges que la terre représente non seulement une ressource économique stratégique, mais également un levier essentiel pour l’autonomisation des femmes rurales. Les normes sociales et coutumières influencent largement l’accès et le contrôle de cette ressource, souvent défavorable aux femmes.
En engageant les détenteurs de l’autorité traditionnelle, garants de ces pratiques, dans une démarche de plaidoyer, le projet Ifcc entend faire de ces leaders des alliés clés du changement. La mise en œuvre de ce plan fera l’objet d’un accompagnement et d’un suivi régulier au sein des communautés ciblées par le projet Ifcc.
Infos Sercom
Les participants sont essentiellement des chefs coutumiers, des chefs de terre, des représentantes de groupements de femmes, ainsi que des représentants de la jeunesse.
Au cours de ces deux journées d’échanges, ils ont analysé les obstacles socio-culturels à l’accès des femmes au foncier. Ils ont également partagé des expériences inspirantes issues de leurs propres communautés. La rencontre a également permis d’identifier des actions concrètes à entreprendre, ainsi que les leviers sociaux et traditionnels, pouvant favoriser l’accès équitable et durable des femmes à la terre.
À l’issue des travaux, les participants ont élaboré un plan d’action en faveur de l’amélioration des droits fonciers des femmes et des filles.
En effet, il ressort des échanges que la terre représente non seulement une ressource économique stratégique, mais également un levier essentiel pour l’autonomisation des femmes rurales. Les normes sociales et coutumières influencent largement l’accès et le contrôle de cette ressource, souvent défavorable aux femmes.
En engageant les détenteurs de l’autorité traditionnelle, garants de ces pratiques, dans une démarche de plaidoyer, le projet Ifcc entend faire de ces leaders des alliés clés du changement. La mise en œuvre de ce plan fera l’objet d’un accompagnement et d’un suivi régulier au sein des communautés ciblées par le projet Ifcc.
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