Ameryst Alston, meneuse de jeu ivoirienne. (Ph:DR)
Afrobasket féminin / Ameryst Alston, meneuse de jeu ivoirienne :‘‘J’ai hâte d’enfiler le maillot orange blanc vert ’’
La fièvre monte au fil des jours. Autant le comité d’organisation veille à ne rien manquer pour le succès de l’événement, autant les joueuses attendent avec impatience le coup d’envoi de la 27e Afrobasket féminin de Fiba. Elles ont hâte d’en découdre avec le reste du continent et faire honneur aux couleurs nationales.
A peine arrivée à Abidjan, Ameryst Alston, la nouvelle meneuse de jeu de charme de la sélection nationale féminine a donné le ton : « Je suis très heureuse d’être là. La ville est resplendissante, chaleureuse. J’ai hâte d’enfiler le maillot orange, blanc et vert et donner le meilleur de moi-même au cours de cet Afrobasket », a lancé Alston.
Une basketteuse expérimentée (31 ans, 1,75m) qui a évolué dans plusieurs clubs majeurs, à Elazig, en deuxième Ligue turque, en Espagne, en Finlande, en Israël, en Suisse et en Islande, avant de poser sa valise en France, avec des statistiques qui parlent : à Angers (boulangère Wonderligue Lbwl) où elle a évolué la saison dernière, l’Américaine née à Canton, dans le Ohio aux États-Unis d’Amérique, a tourné autour de 15.3 points, 2.9 rebonds et 3 passes décisives en moyenne par match. « Je suis pressée de retrouver tout le groupe.
J’imagine la belle ambiance, c’est sûr que nous allons réaliser quelque chose d’extraordinaire ensemble pour le pays », estime la joueuse connue pour son esprit combatif, sa bonne technique et son style de jeu spectaculaire.
Pendant ce temps, le reste de la troupe est au laboratoire, à Istanbul (Turquie) pour parfaire les automatismes, muscler son jeu et huiler ses schémas de jeu. Dans un premier test contre le Cameroun, mercredi, les filles de Leite avaient courbé l’échine face aux Lionnes Indomptables.
Le technicien qui avait aligné une équipe expérimentale a, alors revu son Cinq majeur lors du deuxième match contre la même équipe. Et là, les Éléphantes ont barri avec maestria.
Il leur reste deux autres matchs tests contre des équipes locales turques avant de regagner Abidjan, pour les trois derniers matchs amicaux.
PAUL BAGNINI
Une basketteuse expérimentée (31 ans, 1,75m) qui a évolué dans plusieurs clubs majeurs, à Elazig, en deuxième Ligue turque, en Espagne, en Finlande, en Israël, en Suisse et en Islande, avant de poser sa valise en France, avec des statistiques qui parlent : à Angers (boulangère Wonderligue Lbwl) où elle a évolué la saison dernière, l’Américaine née à Canton, dans le Ohio aux États-Unis d’Amérique, a tourné autour de 15.3 points, 2.9 rebonds et 3 passes décisives en moyenne par match. « Je suis pressée de retrouver tout le groupe.
J’imagine la belle ambiance, c’est sûr que nous allons réaliser quelque chose d’extraordinaire ensemble pour le pays », estime la joueuse connue pour son esprit combatif, sa bonne technique et son style de jeu spectaculaire.
Pendant ce temps, le reste de la troupe est au laboratoire, à Istanbul (Turquie) pour parfaire les automatismes, muscler son jeu et huiler ses schémas de jeu. Dans un premier test contre le Cameroun, mercredi, les filles de Leite avaient courbé l’échine face aux Lionnes Indomptables.
Le technicien qui avait aligné une équipe expérimentale a, alors revu son Cinq majeur lors du deuxième match contre la même équipe. Et là, les Éléphantes ont barri avec maestria.
Il leur reste deux autres matchs tests contre des équipes locales turques avant de regagner Abidjan, pour les trois derniers matchs amicaux.
PAUL BAGNINI