La communauté internationale du vélo se mobilise autour de la Côte d'Ivoire. (Ph: Dr)
Cyclisme/Visite de l’Uci en Côte d’Ivoire: Les premières retombées de la présidence ivoirienne de la Cac
Depuis l’élection de Dr Allah-Kouamé à la tête du cyclisme africain, la Côte d’Ivoire est vue d’un autre œil dans cette discipline. Pour la première fois, les 9 et 10 juillet, le pays a accueilli une mission de l’Union cycliste internationale (Uci).
Conduite par Amina Lanaya, directrice générale, accompagnée par Rose Etoundi, chargée des relations internationales et Laurent Bezault, manager route, elle entre dans le cadre de la dynamisation du vélo ivoirien.
Après avoir rencontré le ministre délégué chargé des Sports, le comité national olympique (Cno) et les membres de la Fédération ivoirienne de cyclisme (Fic), Amina Layana et sa suite étaient heureuses d’avoir touché du doigt les réalités du cyclisme ivoirien. Cela leur permettra d’apporter des solutions idoines afin de d’aider la fédération ivoirienne à passer un cap.
Deux chantiers essentiels ressortent de la réunion de travail entre la délégation de l’Uci et les représentants du ministère des Sports. D'une part, le manque de système de chronométrage électronique, élément crucial pour les arrivées serrées.
Pour y faire face, l’Uci a promis d’accompagner la Côte d’Ivoire dans l’acquisition d’un dispositif adéquat. D’autre part, la formation et la professionnalisation des acteurs du cyclisme, notamment les coureurs, les entraîneurs, les mécaniciens et les arbitres.
Un accompagnement est prévu à cet effet. « J’ai été impressionnée par l’enthousiasme des autorités sportives et la volonté locale de faire du cyclisme un levier de développement sportif et social. Nous allons nous tenir à leurs côtés », a rassuré Amina Lanaya.
La directrice générale de l’Uci, qui avait à cœur le retour du tour cycliste de Côte d’Ivoire au calendrier officiel international, a obtenu un accord du ministre Adjé Silas Metch.
Connu pour son pragmatisme, il s’est engagé à réhabiliter le vélodrome d’Abidjan, l’une des rares infrastructures de ce genre en Afrique de l’Ouest. Cela devrait permettre à la capitale d’accueillir des compétitions régionales.
Le ministre des Sports, selon le compte rendu de la Fic, est prêt à favoriser le développement du cyclisme dans le Nord du pays, à travers un appui à la création de clubs. De quoi combler le président Allah-Kouamé qui ne demande qu’un appui de l’État pour faire rayonner le pays par le cyclisme.
Après avoir rencontré le ministre délégué chargé des Sports, le comité national olympique (Cno) et les membres de la Fédération ivoirienne de cyclisme (Fic), Amina Layana et sa suite étaient heureuses d’avoir touché du doigt les réalités du cyclisme ivoirien. Cela leur permettra d’apporter des solutions idoines afin de d’aider la fédération ivoirienne à passer un cap.
Deux chantiers essentiels ressortent de la réunion de travail entre la délégation de l’Uci et les représentants du ministère des Sports. D'une part, le manque de système de chronométrage électronique, élément crucial pour les arrivées serrées.
Pour y faire face, l’Uci a promis d’accompagner la Côte d’Ivoire dans l’acquisition d’un dispositif adéquat. D’autre part, la formation et la professionnalisation des acteurs du cyclisme, notamment les coureurs, les entraîneurs, les mécaniciens et les arbitres.
Un accompagnement est prévu à cet effet. « J’ai été impressionnée par l’enthousiasme des autorités sportives et la volonté locale de faire du cyclisme un levier de développement sportif et social. Nous allons nous tenir à leurs côtés », a rassuré Amina Lanaya.
La directrice générale de l’Uci, qui avait à cœur le retour du tour cycliste de Côte d’Ivoire au calendrier officiel international, a obtenu un accord du ministre Adjé Silas Metch.
Connu pour son pragmatisme, il s’est engagé à réhabiliter le vélodrome d’Abidjan, l’une des rares infrastructures de ce genre en Afrique de l’Ouest. Cela devrait permettre à la capitale d’accueillir des compétitions régionales.
Le ministre des Sports, selon le compte rendu de la Fic, est prêt à favoriser le développement du cyclisme dans le Nord du pays, à travers un appui à la création de clubs. De quoi combler le président Allah-Kouamé qui ne demande qu’un appui de l’État pour faire rayonner le pays par le cyclisme.