Vincent Toh Bi appelle à une reforme consensuelle des organes. (Ph: Dr)
Processus électoral 2025 : Vincent Toh Bi Irié appelle à une réforme consensuelle des organes
Vincent Toh Bi Irié, ancien préfet d'Abidjan et candidat déclaré à l'élection présidentielle d'octobre 2025, appelle à une réforme consensuelle de la liste électorale mise en place par la Commission électorale indépendante (Cei).
Il s’exprimait à l’occasion de la tribune d’échanges de l’Observatoire ivoirien des droits de l’Homme (Oidh), dénommée « Les Vendredis de l’Oidh ». La rencontre s’est tenue le vendredi 11 juillet 2025, à Cocody-Palmeraie. « Aujourd’hui, il faut une réforme consensuelle de la liste électorale. L’élection doit être une ouverture. Or, tout est fait pour écarter, exclure », a déclaré Vincent Toh Bi Irié.
Selon lui, l’exclusion n’a jamais été un chemin vers la stabilité et la paix. « Pour garantir une élection libre, juste et apaisée, il faut accepter que les uns et les autres puissent être candidats », a-t-il ajouté.
L’ex-préfet d’Abidjan est également revenu sur sa candidature qui, selon lui, répond à trois objectifs fondamentaux : apporter une perspective nouvelle et un mode de gestion innovant à tous les compartiments de la vie nationale et internationale, en réponse aux défis contemporains et aux problématiques de la jeunesse ; instaurer une nouvelle gouvernance des institutions et faire en sorte que la vie politique concerne tous les citoyens ; et enfin, mettre fin au cycle de violence politique pour établir une paix durable.
Sénien Éric, président de l’Oidh, a, pour sa part, souligné que cette tribune a pour objectif de promouvoir les droits de l’homme à travers des échanges et des débats constructifs. Elle vise également à renforcer la démocratie, perçue comme un levier essentiel pour un développement inclusif et une paix durable.
Il a en outre invité le gouvernement à maintenir le dialogue politique avec l’ensemble des parties prenantes au processus électoral, afin de garantir la cohésion sociale et la stabilité.
Selon lui, l’exclusion n’a jamais été un chemin vers la stabilité et la paix. « Pour garantir une élection libre, juste et apaisée, il faut accepter que les uns et les autres puissent être candidats », a-t-il ajouté.
L’ex-préfet d’Abidjan est également revenu sur sa candidature qui, selon lui, répond à trois objectifs fondamentaux : apporter une perspective nouvelle et un mode de gestion innovant à tous les compartiments de la vie nationale et internationale, en réponse aux défis contemporains et aux problématiques de la jeunesse ; instaurer une nouvelle gouvernance des institutions et faire en sorte que la vie politique concerne tous les citoyens ; et enfin, mettre fin au cycle de violence politique pour établir une paix durable.
Sénien Éric, président de l’Oidh, a, pour sa part, souligné que cette tribune a pour objectif de promouvoir les droits de l’homme à travers des échanges et des débats constructifs. Elle vise également à renforcer la démocratie, perçue comme un levier essentiel pour un développement inclusif et une paix durable.
Il a en outre invité le gouvernement à maintenir le dialogue politique avec l’ensemble des parties prenantes au processus électoral, afin de garantir la cohésion sociale et la stabilité.