Toujours selon lui, un accent particulier sera mis sur les trois grandes catégories du kick-boxing : amateur, semi-professionnelle et professionnelle. Cette édition accueillera également trois combats pour des ceintures internationales, un atout majeur pour rehausser l’image de la Côte d’Ivoire sur les scènes africaine et mondiale. « Depuis quatre éditions, nous portons ce projet sans sponsor, avec nos propres moyens. Malgré cela, nous avons réussi à mobiliser, former et encadrer des centaines de jeunes, tout en offrant des spectacles de qualité. Ce manque de moyens freine notre expansion, mais jamais notre détermination », assure le promoteur.

Il rappelle que les combattants sont sélectionnés sur la base de leur performance sportive, de leur discipline et de leur engagement. « Nous travaillons avec des clubs partenaires, des fédérations et des experts afin de garantir un niveau élevé et des combats équilibrés. Le public nous suit avec passion : les salles sont pleines, les jeunes sont motivés, et les médias commencent à reconnaître notre sérieux. Les combattants eux-mêmes saluent la qualité de l’organisation ainsi que l’esprit de respect et d’encadrement qui règne autour de l’Ifc. »

Et de conclure : « Je lance un appel aux entreprises, aux institutions et aux partenaires. L’Ifc, ce n’est pas seulement du sport, c’est aussi une mission sociale. Soutenir l’Ifc, c’est soutenir la jeunesse, la discipline et l’image de la Côte d’Ivoire. »

DANIELLE SERI (Stagiaire)