Le président du Cojep a échangé avec ses hôtes sur des élections apaisées (DR)
Promotion de la paix: Le Forum des sages de l'Afrique de l'Ouest chez Blé Goudé
Dans le cadre d'une mission régionale de promotion de la paix et du dialogue politique, le président du Cojep, Charles Blé Goudé a reçu le jeudi 10 juillet 2025, au siège de son parti à Angré, deux anciens chefs d’État, Thomas Boni Yayi, ancien président de la République du Bénin, Goodluck Jonathan, ancien président de la République fédérale du Nigeria et Dr Mohamed Ibn Chambas ex-secrétaire exécutif et ex-président de la Commission de la Cedeao.
En les recevant, le président du Cojep a réaffirmé son attachement aux valeurs de dialogue, de paix et de la responsabilité politique pour des élections apaisée a trois mois de la présidentielle.
« Dans notre continent, les élections débouchent très souvent sur des conflits. Et je suis content qu'avant les élections en Côte d'Ivoire, les anciens chefs d'État et ambassadeurs soient venus ici pour nous aider à trouver des solutions à ce qui sont nos préoccupations, mais par la voie du dialogue. Seul le dialogue peut éviter à la Côte d'Ivoire de revivre et de répéter l'histoire triste que nous avons connue », a déclaré Charles Blé Goudé à la sortie de l’entretient. Avant de leur exprimer sa gratitude pour leur déplacement pour des élections apaisées à l’effet que les enfants de la Côte d'Ivoire « ne puissent pas s'entretuer une fois de plus pour un fauteuil présidentiel ».
« Dans notre continent, les élections débouchent très souvent sur des conflits. Et je suis content qu'avant les élections en Côte d'Ivoire, les anciens chefs d'État et ambassadeurs soient venus ici pour nous aider à trouver des solutions à ce qui sont nos préoccupations, mais par la voie du dialogue. Seul le dialogue peut éviter à la Côte d'Ivoire de revivre et de répéter l'histoire triste que nous avons connue », a déclaré Charles Blé Goudé à la sortie de l’entretient. Avant de leur exprimer sa gratitude pour leur déplacement pour des élections apaisées à l’effet que les enfants de la Côte d'Ivoire « ne puissent pas s'entretuer une fois de plus pour un fauteuil présidentiel ».