Commerce
Marché Petit Lomé d’Adjamé: Les commerçants appellent le Président Ouattara au secours
Dans une déclaration, les commerçants sinistrés du marché Petit Lomé veulent une reconstruction rapide de leur marché ravagé par un incendie, le 15 mai 2025.
Deux mois, après l’incendie du marché Petit Lomé, les commerçants sont montés au créneau, le mercredi 9 juillet 2025. Réunis sur le site de cet espace commercial, situé non loin de la grande mosquée d’Adjamé, les deux porte-paroles des commerçants dudit marché ont appelé à l’aide.
C’est d’abord, Chérif Binaté, la première qui a sonné l’alerte. Selon elle, ce sont plus de mille commerçants qui sont aujourd’hui, dans le désarroi, depuis que le marché est parti en fumée le 15 mai 2025. « Ce marché c’était notre gagne-pain, notre univers quotidien, notre dignité, notre identité. C’était l’école de nos enfants, les médicaments de nos parents, l’autonomie de nos foyers, le bien-être de nos familles, mais aussi les contributions aux impôts, des milliers de personnes qui en vivaient de façon indirecte », a-t-elle relevé avec émotion.
Face à ce désarroi, elle a affirmé que les commerçants appellent le Président de la République au secours afin de reconstruire totalement ce marché dans les meilleurs délais. « Nous souhaitons que les travaux commencent dans les plus brefs délais. Ce marché est notre lieu de vie. Sa réhabilitation rapide est une condition essentielle de notre survie économique et sociale », a affirmé Chérif Binaté.
En attendant la reconstruction, elle a demandé que des sites provisoires, sécurisés et accessibles, soient mis à la disposition des commerçants sinistrés pour exercer leurs activités.
Enfin, elle a appelé la ministre de la Solidarité et de la lutte contre la pauvreté, celle de la Femme, de la Famille et de l’Enfant ainsi que les organisations humanitaires à apporter un accompagnement ciblé aux victimes.
La seconde porte-parole, Tenin Pillah Touré, a appelé également au secours le Premier ministre, Beugré Mambé, le gouverneur du District autonome d’Abidjan, Cissé Bacongo, le député-maire Farikou Soumahoro, les ONG, les bailleurs et les partenaires techniques et financiers. « Nous ne tendons pas la main pour mendier. Nous voulons travailler. Nous voulons gagner dignement notre vie. Nous voulons bâtir un avenir pour nos enfants. Nous voulons participer au développement de notre pays », a-t-elle clarifié.
C’est d’abord, Chérif Binaté, la première qui a sonné l’alerte. Selon elle, ce sont plus de mille commerçants qui sont aujourd’hui, dans le désarroi, depuis que le marché est parti en fumée le 15 mai 2025. « Ce marché c’était notre gagne-pain, notre univers quotidien, notre dignité, notre identité. C’était l’école de nos enfants, les médicaments de nos parents, l’autonomie de nos foyers, le bien-être de nos familles, mais aussi les contributions aux impôts, des milliers de personnes qui en vivaient de façon indirecte », a-t-elle relevé avec émotion.
Face à ce désarroi, elle a affirmé que les commerçants appellent le Président de la République au secours afin de reconstruire totalement ce marché dans les meilleurs délais. « Nous souhaitons que les travaux commencent dans les plus brefs délais. Ce marché est notre lieu de vie. Sa réhabilitation rapide est une condition essentielle de notre survie économique et sociale », a affirmé Chérif Binaté.
En attendant la reconstruction, elle a demandé que des sites provisoires, sécurisés et accessibles, soient mis à la disposition des commerçants sinistrés pour exercer leurs activités.
Enfin, elle a appelé la ministre de la Solidarité et de la lutte contre la pauvreté, celle de la Femme, de la Famille et de l’Enfant ainsi que les organisations humanitaires à apporter un accompagnement ciblé aux victimes.
La seconde porte-parole, Tenin Pillah Touré, a appelé également au secours le Premier ministre, Beugré Mambé, le gouverneur du District autonome d’Abidjan, Cissé Bacongo, le député-maire Farikou Soumahoro, les ONG, les bailleurs et les partenaires techniques et financiers. « Nous ne tendons pas la main pour mendier. Nous voulons travailler. Nous voulons gagner dignement notre vie. Nous voulons bâtir un avenir pour nos enfants. Nous voulons participer au développement de notre pays », a-t-elle clarifié.