Sportivement : La peur change de camp
Depuis le début de la compétition, le 15 juin dernier, Paris Saint-Germain (Psg) a souvent été cité comme un prétendant sérieux à la victoire finale pour la Coupe du monde des clubs. Certains l’avaient dépossédé du titre de favori avant les quarts de finale, mais Paris a retrouvé son statut après sa victoire face au Bayern Munich (2-0).
Selon Opta, société britannique d’analyse sportive fournissant des données pour plus de 30 sports dans plus de 70 pays, le club français a 39,33% de chances de gagner le titre, le 13 juillet prochain, à New York. Il devance Chelsea (33,27%), le Real Madrid (24,87%) et Fluminense (2,72%), seule équipe non européenne dans le dernier carré.
Le Psg, cette année, est à un très haut niveau. C’est indéniable. Même le grand Real Madrid a perdu sa sérénité à la veille du match de la demi-finale contre le club de la capitale française.
La Casa blanca présente une mine dubitative. Xabi Alonso, le nouvel entraîneur et son gardien de but belge reflètent bien cet état d’esprit du club. « Ce sera un très grand défi pour nous », estime Xabi, tandis que Thibaut Courtois voit en face « une grande équipe, c’est le champion d’Europe, ce sera un adversaire difficile ».
A les écouter, Paris part favori pour ce match. Qui l’eût cru ? Le Real Madrid qui tremble avant d’affronter le Psg. C’est le monde à l’envers !
Eternel favori, souvent prompt à étaler sa domination européenne, le Real Madrid qui se fait petit au moment de retrouver le Psg en demi-finale, on n’était pas habitué à ça. Est-ce une manière d’annihiler la pression qui pèse sur le groupe en présentant l’adversaire comme favori ? Peut-être...
Le respect marqué pour Paris résonne aussi comme une analyse lucide des manques du Real de la saison dernière. On a senti un manque de cohésion et parfois de sacrifices. Cela a tranché avec l’approche de guerriers qui a porté le club à cinq Ligues des champions en dix ans. En tout cas, dans le meilleur match de la compétition, contre le Bayern Munich, le Psg a montré qu’il était un cran au-dessus des équipes de la compétition.
Ce qu’attendent les Madrilènes, ce soir, c’est que Xabi Alonso soit leur Luis Enrique, leur meneur qui saura remettre l’équipe d’équerre.
C’est que le Psg de Luis Enrique réalise un exercice 2024-2025 idyllique, avec quatre titres obtenus sur quatre possibles. Avec 164 buts inscrits en 63 matchs disputés cette saison, auteurs de 12 buts en cinq rencontres au Mondial des clubs 2025, les Parisiens ont jusqu’ici fait forte impression aux États-Unis.
Sur leurs huit derniers matchs, ils ont marqué trois buts ou plus à six reprises. Cette quête de perfection pourrait atteindre son paroxysme en cas de cinquième trophée, et non des moindres : celui de la Coupe du monde des clubs de la Fifa 2025. Enfin, avant d’en arriver là, un obstacle de taille se dresse sur la route, le Real Madrid, quinze fois champion d’Europe.
Le club de la capitale espagnole est un monument du football mondial et seul un Psg d’un très grand soir pourra triompher en demi-finale.
Le Psg, cette année, est à un très haut niveau. C’est indéniable. Même le grand Real Madrid a perdu sa sérénité à la veille du match de la demi-finale contre le club de la capitale française.
La Casa blanca présente une mine dubitative. Xabi Alonso, le nouvel entraîneur et son gardien de but belge reflètent bien cet état d’esprit du club. « Ce sera un très grand défi pour nous », estime Xabi, tandis que Thibaut Courtois voit en face « une grande équipe, c’est le champion d’Europe, ce sera un adversaire difficile ».
A les écouter, Paris part favori pour ce match. Qui l’eût cru ? Le Real Madrid qui tremble avant d’affronter le Psg. C’est le monde à l’envers !
Eternel favori, souvent prompt à étaler sa domination européenne, le Real Madrid qui se fait petit au moment de retrouver le Psg en demi-finale, on n’était pas habitué à ça. Est-ce une manière d’annihiler la pression qui pèse sur le groupe en présentant l’adversaire comme favori ? Peut-être...
Le respect marqué pour Paris résonne aussi comme une analyse lucide des manques du Real de la saison dernière. On a senti un manque de cohésion et parfois de sacrifices. Cela a tranché avec l’approche de guerriers qui a porté le club à cinq Ligues des champions en dix ans. En tout cas, dans le meilleur match de la compétition, contre le Bayern Munich, le Psg a montré qu’il était un cran au-dessus des équipes de la compétition.
Ce qu’attendent les Madrilènes, ce soir, c’est que Xabi Alonso soit leur Luis Enrique, leur meneur qui saura remettre l’équipe d’équerre.
C’est que le Psg de Luis Enrique réalise un exercice 2024-2025 idyllique, avec quatre titres obtenus sur quatre possibles. Avec 164 buts inscrits en 63 matchs disputés cette saison, auteurs de 12 buts en cinq rencontres au Mondial des clubs 2025, les Parisiens ont jusqu’ici fait forte impression aux États-Unis.
Sur leurs huit derniers matchs, ils ont marqué trois buts ou plus à six reprises. Cette quête de perfection pourrait atteindre son paroxysme en cas de cinquième trophée, et non des moindres : celui de la Coupe du monde des clubs de la Fifa 2025. Enfin, avant d’en arriver là, un obstacle de taille se dresse sur la route, le Real Madrid, quinze fois champion d’Europe.
Le club de la capitale espagnole est un monument du football mondial et seul un Psg d’un très grand soir pourra triompher en demi-finale.