Félix Houphouet-Boigny
6 juillet 1978 – 6 juillet 2025 : Il y a 47 ans, Houphouët-Boigny honoré par l’Université Paris V
Ce 6 juillet 2025 marque le 47e anniversaire d’une reconnaissance académique majeure pour le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, le Président Félix Houphouët-Boigny. En effet, le 6 juillet 1978, l’Université de Paris V, également connue sous le nom d’Université René Descartes, lui décernait le titre prestigieux de Docteur Honoris Causa en Sciences Humaines et en Droit.
À travers cette distinction, l’une des plus illustres universités françaises saluait le parcours exceptionnel de l’homme d’État ivoirien, son engagement pour la paix, le dialogue et la dignité humaine, ainsi que son rôle déterminant dans le rayonnement de l’Afrique sur la scène internationale. Au-delà de son action politique, Houphouët-Boigny était reconnu comme un humaniste, fervent défenseur de la liberté, de la dignité et du développement des peuples africains.
Ce titre honorifique venait également récompenser sa vision du vivre-ensemble et son combat constant pour la tolérance et la fraternité, valeurs auxquelles il a consacré sa vie. Lors de la cérémonie à Paris, les universitaires avaient mis en lumière sa contribution à la construction d’une Afrique indépendante et unie, ainsi que ses efforts pour bâtir un État ivoirien stable, ouvert sur le monde.
Près de cinq décennies après, cet hommage reste gravé dans la mémoire collective, rappelant la dimension intellectuelle et philosophique de celui que ses compatriotes surnommaient affectueusement « le Sage de Yamoussoukro ». Le 6 juillet demeure ainsi une date symbolique, incitant les Ivoiriens à méditer sur l’héritage de paix, de dialogue et de progrès laissé par le premier Président de la République de Côte d’Ivoire.
Ce titre honorifique venait également récompenser sa vision du vivre-ensemble et son combat constant pour la tolérance et la fraternité, valeurs auxquelles il a consacré sa vie. Lors de la cérémonie à Paris, les universitaires avaient mis en lumière sa contribution à la construction d’une Afrique indépendante et unie, ainsi que ses efforts pour bâtir un État ivoirien stable, ouvert sur le monde.
Près de cinq décennies après, cet hommage reste gravé dans la mémoire collective, rappelant la dimension intellectuelle et philosophique de celui que ses compatriotes surnommaient affectueusement « le Sage de Yamoussoukro ». Le 6 juillet demeure ainsi une date symbolique, incitant les Ivoiriens à méditer sur l’héritage de paix, de dialogue et de progrès laissé par le premier Président de la République de Côte d’Ivoire.