Lutte contre les Ist, Vih-Sida... : Des communautés ouest-africaines sensibilisées
A l’initiative du Comité sectoriel de lutte contre le Vih-Sida du ministère délégué auprès du ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, une séance de sensibilisation des communautés ouest-africaines vivant en Côte d’Ivoire a été organisée dans le cadre de la riposte nationale aux infections sexuellement transmissibles (Ist) et au Vih/Sida. C’était le 3 juillet 2025, à Cocody-Angré 22e Arrondissement.
Selon Naferman Kossonou, coordonnatrice du Comité sectoriel de lutte contre le Vih-Sida, cette activité a pour objectif de renforcer la sensibilisation, diffuser des messages de prévention adaptés, et surtout de favoriser un dialogue ouvert entre les autorités sanitaires, les institutions d’intégration et les communautés concernées.
« Nous devons briser les tabous, combattre les idées reçues et permettre à chacun, sans discrimination, d’accéder aux services de santé sexuelle et reproductive, au dépistage volontaire, et aux traitements disponibles. Le Vih n’est pas une fatalité. Il est possible aujourd’hui de vivre en bonne santé avec le virus, à condition de connaître son statut, d’accéder aux traitements antirétroviraux et de bénéficier d’un accompagnement psychosocial. Mais pour cela, il faut d’abord oser en parler. Il faut oser se faire dépister. Et il faut que les institutions nous tendent la main, comme elles le font aujourd’hui », a-t-il déclaré.
Pour sa part, Camara Nadjié, chargée d'études, représentant le directeur général des politiques d'intégration a rappelé que l'un des leviers les plus puissants de la riposte réside dans la participation communautaire.
A l’en croire, les acteurs communautaires sont les relais essentiels entre les institutions de santé et les populations. « Vous êtes les porteurs de messages, les catalyseurs du changement de comportement et les gardiens de la solidarité dans nos quartiers, nos villages, nos familles. En vous impliquant activement, vous donnez vie à nos politiques publiques. C'est donc avec une grande attente que nous suivrons les recommandations qui émaneront de vos échanges », a-t-il indiqué.
« Nous devons briser les tabous, combattre les idées reçues et permettre à chacun, sans discrimination, d’accéder aux services de santé sexuelle et reproductive, au dépistage volontaire, et aux traitements disponibles. Le Vih n’est pas une fatalité. Il est possible aujourd’hui de vivre en bonne santé avec le virus, à condition de connaître son statut, d’accéder aux traitements antirétroviraux et de bénéficier d’un accompagnement psychosocial. Mais pour cela, il faut d’abord oser en parler. Il faut oser se faire dépister. Et il faut que les institutions nous tendent la main, comme elles le font aujourd’hui », a-t-il déclaré.
Pour sa part, Camara Nadjié, chargée d'études, représentant le directeur général des politiques d'intégration a rappelé que l'un des leviers les plus puissants de la riposte réside dans la participation communautaire.
A l’en croire, les acteurs communautaires sont les relais essentiels entre les institutions de santé et les populations. « Vous êtes les porteurs de messages, les catalyseurs du changement de comportement et les gardiens de la solidarité dans nos quartiers, nos villages, nos familles. En vous impliquant activement, vous donnez vie à nos politiques publiques. C'est donc avec une grande attente que nous suivrons les recommandations qui émaneront de vos échanges », a-t-il indiqué.