
L'initiatrice (au centre) a promis une prochaine édition davantage riche pour des administrations plus fortes. (Ph: Dr)
L'initiatrice (au centre) a promis une prochaine édition davantage riche pour des administrations plus fortes. (Ph: Dr)
Journée de l’excellence administrative 2025: Les assistants et gestionnaires administratifs mis en valeur au cours de la 1re édition
Il y a des métiers qui se font sans bruit ; des mains invisibles qui tiennent les piliers de l’efficacité dans les entreprises, les ministères, les Ong. Le 28 juin 2025, à l’hôtel La Rose blanche, un coin de voile s’est levée sur cette catégorie de travailleurs.
Pour la première fois, les professionnels de l’assistanat et de la gestion administrative ont été placés sous le feu des projecteurs. Plus qu’un simple événement, la Journée de l’excellence administrative 2025 s’est érigée en un plaidoyer. Le mot d’ordre était clair : revaloriser ce corps de métier. Et c’est Karidjadou Soumahoro épouse Yoda, initiatrice et cheville ouvrière de cette journée, qui a ouvert la cérémonie, rappelant l'urgence de repositionner ces métiers au cœur des performances organisationnelles.
Les distinctions remises étaient des décorations chargées de reconnaissance envers ceux qui tiennent les plannings, gèrent les conflits, assurent la continuité administrative dans les pires contextes, a fait savoir Karidjadou Soumahoro épouse Yoda. Elle a indiqué que son ambition désormais, c’est d’inscrire cette journée au calendrier annuel, comme un rendez-vous incontournable de ceux qu’on n’applaudit jamais assez. « La Journée de l’excellence administrative 2025 n’était pas un gala, c’était une prise de parole de celles et ceux qui, derrière les bureaux, les agendas et les rapports, garantissent le bon fonctionnement de l’administration. Et aujourd’hui, ils réclament et méritent d’être vus autrement », a-t-elle déclaré.
Dr Rachel Yonant Koffi a bousculé les idées reçues au cours de sa communication. La conférencière a parlé de « L’assistant 3.0 » un métier qui, selon elle, n’est plus seulement celui du secrétariat traditionnel, mais désormais une fonction stratégique, où l’intelligence émotionnelle, l’aisance communicationnelle et la capacité d’anticipation sont devenues des armes redoutables. Autour d’elle, des panelistes-experts comme Djan Fanny et Christiana Alabi ont enrichi les débats, déconstruisant les clichés, inspirant l’auditoire, tout en le formant.
L’objectif n’était pas de faire beau, mais de faire utile. Il est rare que les fonctions support fassent la une. Et pourtant, sans elles, rien ne tient, ont-ils souligné. Cette journée a permis de replacer le débat là où il doit être : dans la reconnaissance et la professionnalisation, a-t-on pu constater.
Malone DIABY (Stagiaire)
Les distinctions remises étaient des décorations chargées de reconnaissance envers ceux qui tiennent les plannings, gèrent les conflits, assurent la continuité administrative dans les pires contextes, a fait savoir Karidjadou Soumahoro épouse Yoda. Elle a indiqué que son ambition désormais, c’est d’inscrire cette journée au calendrier annuel, comme un rendez-vous incontournable de ceux qu’on n’applaudit jamais assez. « La Journée de l’excellence administrative 2025 n’était pas un gala, c’était une prise de parole de celles et ceux qui, derrière les bureaux, les agendas et les rapports, garantissent le bon fonctionnement de l’administration. Et aujourd’hui, ils réclament et méritent d’être vus autrement », a-t-elle déclaré.
Dr Rachel Yonant Koffi a bousculé les idées reçues au cours de sa communication. La conférencière a parlé de « L’assistant 3.0 » un métier qui, selon elle, n’est plus seulement celui du secrétariat traditionnel, mais désormais une fonction stratégique, où l’intelligence émotionnelle, l’aisance communicationnelle et la capacité d’anticipation sont devenues des armes redoutables. Autour d’elle, des panelistes-experts comme Djan Fanny et Christiana Alabi ont enrichi les débats, déconstruisant les clichés, inspirant l’auditoire, tout en le formant.
L’objectif n’était pas de faire beau, mais de faire utile. Il est rare que les fonctions support fassent la une. Et pourtant, sans elles, rien ne tient, ont-ils souligné. Cette journée a permis de replacer le débat là où il doit être : dans la reconnaissance et la professionnalisation, a-t-on pu constater.
Malone DIABY (Stagiaire)