
Le chef du gouvernement ivoirien a accordé une audience à une délégation de la Banque mondiale. (Ph: Joséphine Kouadio)
Le chef du gouvernement ivoirien a accordé une audience à une délégation de la Banque mondiale. (Ph: Joséphine Kouadio)
Coopération Côte d'Ivoire-Banque mondiale : Beugré Mambé échange avec Ousmane Diagana
Le représentant de l'institution financière internationale a été reçu en audience, hier, par le Premier ministre, Robert Beugré Mambé.
L’état de mise en œuvre du portefeuille illustrant la qualité des partenariats de la Banque mondiale avec la Côte d’Ivoire était au centre de la séance de travail qu’a eue, dans l’après-midi du lundi 30 juin, à la Primature au Plateau, le Premier ministre, ministre des Sports et du Cadre de vie, Robert Beugré Mambé, avec une délégation de la Banque mondiale conduite par son vice-président pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Ousmane Diagana.
À l’issue de cette audience, Ousmane Diagana s’est félicité de la performance du pays. « La Côte d’Ivoire a très bien performé ». Il a par ailleurs souligné que le pays, au titre des décaissements, la Côte d’Ivoire est quasiment le premier pays de la sous-région ».
Affirmant que le portefeuille actuel avec la Côte d’Ivoire avoisine les 5 milliards de dollars (environ 3000 milliards de FCfa), et qu’il est focalisé sur plusieurs secteurs. « Nous sommes à la fin de notre année fiscale ce 30 juin », a poursuivi le vice-président de la Banque mondiale. Avant d’ajouter que la bonne santé du pays ouvre de nouvelles perspectives. Et ce, à un moment où la Côte d’Ivoire achève la préparation de son plan national de développement. « Cela nous permet, en tant que partenaire stratégique, de continuer à travailler ensemble et de mettre à la disposition du pays les connaissances que nous accumulons en tant qu’institution, les financements additionnels que nous pouvons mobiliser », a relevé Ousmane Diagana.
La séance de travail a également permis de faire le point sur la mission menée par cette institution financière à San Pedro et d’engager une réflexion stratégique sur les futurs axes d’intervention de la Banque dans la région, notamment en Afrique de l’Ouest et du Centre. Deux priorités ont été identifiées. La première porte sur la problématique de la création d’emplois.
Pour le dirigeant de la Bm, les pays africains ont besoin d’atteindre le dividende démographique pour investir qualitativement et quantitativement dans l’éducation et la formation. Mais aussi et surtout pour transformer les secteurs créateurs d’emplois. Entre autres, l’énergie, les infrastructures, la santé, l’agriculture et le tourisme. La deuxième problématique abordée concerne la question de l’intégration régionale, en raison des destins communs des pays de la région, confrontés à un contexte géopolitique et politique difficile.
Affirmant que le portefeuille actuel avec la Côte d’Ivoire avoisine les 5 milliards de dollars (environ 3000 milliards de FCfa), et qu’il est focalisé sur plusieurs secteurs. « Nous sommes à la fin de notre année fiscale ce 30 juin », a poursuivi le vice-président de la Banque mondiale. Avant d’ajouter que la bonne santé du pays ouvre de nouvelles perspectives. Et ce, à un moment où la Côte d’Ivoire achève la préparation de son plan national de développement. « Cela nous permet, en tant que partenaire stratégique, de continuer à travailler ensemble et de mettre à la disposition du pays les connaissances que nous accumulons en tant qu’institution, les financements additionnels que nous pouvons mobiliser », a relevé Ousmane Diagana.
La séance de travail a également permis de faire le point sur la mission menée par cette institution financière à San Pedro et d’engager une réflexion stratégique sur les futurs axes d’intervention de la Banque dans la région, notamment en Afrique de l’Ouest et du Centre. Deux priorités ont été identifiées. La première porte sur la problématique de la création d’emplois.
Pour le dirigeant de la Bm, les pays africains ont besoin d’atteindre le dividende démographique pour investir qualitativement et quantitativement dans l’éducation et la formation. Mais aussi et surtout pour transformer les secteurs créateurs d’emplois. Entre autres, l’énergie, les infrastructures, la santé, l’agriculture et le tourisme. La deuxième problématique abordée concerne la question de l’intégration régionale, en raison des destins communs des pays de la région, confrontés à un contexte géopolitique et politique difficile.