
Dr George Olombi lors de sa prise de parole. A ses côtés, le président sortant Prof Oramah (Ph: Salif D. CHEICKNA)
Dr George Olombi lors de sa prise de parole. A ses côtés, le président sortant Prof Oramah (Ph: Salif D. CHEICKNA)
Afreximbank : Dr George Elombi réitère la vision de la banque d’une Afrique plus créatrice d’emplois
Tout juste désigné président d’Afreximbank lors des 32ᵉ assemblées annuelles de la banque à Abuja, le 28 juin 2025. Dr George Elombi a livré ses premières impressions. Pour lui, la confiance renouvelée des États membres, qui représentent près de 97% de l’économie africaine, est un signal fort en faveur de la continuité des actions entreprises.
« Les économies veulent continuer le travail que nous avons entamé. Nous allons poursuivre sur cette lancée », a-t-il affirmé, insistant sur l’importance du soutien des pays membres pour atteindre les objectifs fixés.
Dr Elombi a réitéré sa vision d’une Afrique plus industrialisée et créatrice d’emplois. « Il n’est plus intéressant d’exporter uniquement le coton brut. Nous devons désormais le transformer localement. C’est ainsi que nous créerons plus d’emplois, renforcerons la confiance, augmenterons la base fiscale et contribuerons à la prospérité économique du continent », a-t-il expliqué.
Interrogé sur la récente dégradation de la note de la banque par une agence de notation, le nouveau président s’est voulu rassurant. Selon lui, cette décision ne reflète pas la solidité financière d’Afreximbank. « La liquidité reste solide, la génération de capital interne est forte, tout comme le soutien de nos actionnaires. Nos ratios de capital sont également très robustes. Cette note ne remet donc pas en cause notre crédibilité », a-t-il assuré.
Originaire du Cameroun, Dr George Elombi est un juriste et financier chevronné, engagé depuis près de trois décennies au sein d’Afreximbank. Il y a rejoint l’institution en 1996 en tant que Legal Officer, avant de gravir les échelons pour occuper le poste d’Executive Vice President, Governance, Legal and Corporate Services. Sa carrière est marquée par une expertise avérée en droit commercial international, en gouvernance d’entreprise et en structuration de projets stratégiques.
Docteur en droit, il est également diplômé en sciences économiques et reconnu pour sa vision panafricaine du développement. Son ambition est de positionner Afreximbank comme un moteur de transformation structurelle, en mettant l’accent sur l’industrialisation, la création d’emplois et l’intégration économique du continent.
Envoyé spécial à Abuja, Nigéria
Dr Elombi a réitéré sa vision d’une Afrique plus industrialisée et créatrice d’emplois. « Il n’est plus intéressant d’exporter uniquement le coton brut. Nous devons désormais le transformer localement. C’est ainsi que nous créerons plus d’emplois, renforcerons la confiance, augmenterons la base fiscale et contribuerons à la prospérité économique du continent », a-t-il expliqué.
Interrogé sur la récente dégradation de la note de la banque par une agence de notation, le nouveau président s’est voulu rassurant. Selon lui, cette décision ne reflète pas la solidité financière d’Afreximbank. « La liquidité reste solide, la génération de capital interne est forte, tout comme le soutien de nos actionnaires. Nos ratios de capital sont également très robustes. Cette note ne remet donc pas en cause notre crédibilité », a-t-il assuré.
Originaire du Cameroun, Dr George Elombi est un juriste et financier chevronné, engagé depuis près de trois décennies au sein d’Afreximbank. Il y a rejoint l’institution en 1996 en tant que Legal Officer, avant de gravir les échelons pour occuper le poste d’Executive Vice President, Governance, Legal and Corporate Services. Sa carrière est marquée par une expertise avérée en droit commercial international, en gouvernance d’entreprise et en structuration de projets stratégiques.
Docteur en droit, il est également diplômé en sciences économiques et reconnu pour sa vision panafricaine du développement. Son ambition est de positionner Afreximbank comme un moteur de transformation structurelle, en mettant l’accent sur l’industrialisation, la création d’emplois et l’intégration économique du continent.
Envoyé spécial à Abuja, Nigéria