Les participants au panel. (Ph: Dr)
Collaboration avec les organisations syndicales: Le dialogue social proposé comme cadre de préservation du climat social
Un panel a réuni le vendredi 27 juin 2025, les organisations syndicales et des représentants de l’administration au palais de la culture de Treichville sur le thème : « Climat social et nouveau paradigme de collaboration avec les organisations syndicales : défis et enjeux ».
Cette rencontre s’est tenue en marge des Journées de la fonction publique (Jfp 2025) qui sont à leur cinquième édition.
Au cours des échanges, les organisations syndicales et des acteurs de l’administration publique ont fait des propositions pour un apaisement du climat social.
Le secrétaire général de la centrale syndicale Humanisme, Soro Mamadou, a insisté sur le renforcement du dialogue social. Il a précisé que le dialogue social est un instrument d’échanges entre le patronat et les syndicats.
Pour lui, il faut donc intentionnaliser ce cadre. Afin de maintenir les leviers pour un climat social apaisé. « Il faut aider les organisations syndicales à créer la Maison des travailleurs où les travailleurs seront formés. Dans cette maison, les travailleurs vont mieux s’organiser », a-t-il proposé, tout en demandant à l’administration de former ces acteurs.
Evoquant les attentes des travailleurs, Soro Mamadou a dit ceci : « Nos attentes, ce sont les primes et indemnités qui doivent être généralisées à l'ensemble des fonctionnaires de l'État. La méthodologie est simple. C'est à travers le dialogue social que nous allons faire une étude très poussée qui va nous permettre de donner des indemnités et des primes à l'ensemble des fonctionnaires de l'État ».
A son tour, Yao Mathieu Kouma, secrétaire exécutif du conseil national du dialogue social, a souligné l’importance du dialogue social qui est le moyen privilégié de collaboration. « Il faut former les acteurs du dialogue social. Il faut être outillés pour pouvoir discuter avec les différentes parties. Les acteurs doivent être au même niveau d’information », a-t-il avancé, tout en conseillant une bonne pratique du dialogue social.
« L’État fait bien de s’inspirer de ce que l’Oit a préconisé relativement à la pratique du dialogue social pour un climat social apaisé », a ajouté Yao Mathieu Kouma.
Adama Coulibaly, inspecteur général, coordonnateur général de l’Inspection générale au ministère de l’Éducation nationale et de l'Alphabétisation a, pour sa part, fait savoir que le compromis est un élément essentiel pour arriver au dialogue social afin d’avoir un climat social apaisé. Le dialogue social est la panacée que nous trouvons pour une bonne collaboration sociale avec nos partenaires sociaux.
Quant au directeur des affaires juridiques et du contentieux du ministère d’État, ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration, Koné Zanga, il a indiqué que les syndicalistes doivent être une force de propositions à l’administration... « Il faut organiser également le milieu syndicat », a-t-il préconisé.
Au cours des échanges, les organisations syndicales et des acteurs de l’administration publique ont fait des propositions pour un apaisement du climat social.
Le secrétaire général de la centrale syndicale Humanisme, Soro Mamadou, a insisté sur le renforcement du dialogue social. Il a précisé que le dialogue social est un instrument d’échanges entre le patronat et les syndicats.
Pour lui, il faut donc intentionnaliser ce cadre. Afin de maintenir les leviers pour un climat social apaisé. « Il faut aider les organisations syndicales à créer la Maison des travailleurs où les travailleurs seront formés. Dans cette maison, les travailleurs vont mieux s’organiser », a-t-il proposé, tout en demandant à l’administration de former ces acteurs.
Evoquant les attentes des travailleurs, Soro Mamadou a dit ceci : « Nos attentes, ce sont les primes et indemnités qui doivent être généralisées à l'ensemble des fonctionnaires de l'État. La méthodologie est simple. C'est à travers le dialogue social que nous allons faire une étude très poussée qui va nous permettre de donner des indemnités et des primes à l'ensemble des fonctionnaires de l'État ».
A son tour, Yao Mathieu Kouma, secrétaire exécutif du conseil national du dialogue social, a souligné l’importance du dialogue social qui est le moyen privilégié de collaboration. « Il faut former les acteurs du dialogue social. Il faut être outillés pour pouvoir discuter avec les différentes parties. Les acteurs doivent être au même niveau d’information », a-t-il avancé, tout en conseillant une bonne pratique du dialogue social.
« L’État fait bien de s’inspirer de ce que l’Oit a préconisé relativement à la pratique du dialogue social pour un climat social apaisé », a ajouté Yao Mathieu Kouma.
Adama Coulibaly, inspecteur général, coordonnateur général de l’Inspection générale au ministère de l’Éducation nationale et de l'Alphabétisation a, pour sa part, fait savoir que le compromis est un élément essentiel pour arriver au dialogue social afin d’avoir un climat social apaisé. Le dialogue social est la panacée que nous trouvons pour une bonne collaboration sociale avec nos partenaires sociaux.
Quant au directeur des affaires juridiques et du contentieux du ministère d’État, ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration, Koné Zanga, il a indiqué que les syndicalistes doivent être une force de propositions à l’administration... « Il faut organiser également le milieu syndicat », a-t-il préconisé.