Les participants au terme de la discussion de groupes
Ferkessédougou : L’Ong "Femme en Action" exhorte les parents à dialoguer avec leurs enfants sur la sexualité
L’Ong "Femme en Action", en partenariat avec la Commission nationale ivoirienne pour l’Unesco et avec le soutien technique et financier de l’Unesco, met en œuvre la phase III du programme 03 intitulé : « Vulgarisation et acquisition des valeurs et compétences de l’Éducation complète à la sexualité (Ecs) ». Ce programme vise à promouvoir l’éducation complète à la sexualité et une vie saine en mobilisant les acteurs communautaires par la communication sociale.
Dans ce cadre, des séances de sensibilisation de masse et des groupes de discussion éducatifs ont eu lieu les 20 et 21 juin 2025 à Ferkessédougou. Placées sous le thème « Vulgarisation et acquisition des valeurs et compétences de l’ECS », ces journées ont réuni guides religieux, chefs de communautés, présidentes d’associations et leurs membres.
Le 20 juin, la salle des fêtes de la Mairie a accueilli une animation publique présidée par M. Dotanah D. Koné, représentant le maire. Celui-ci a souligné l’importance de l’accès des jeunes à une information claire et complète sur leur santé sexuelle et reproductive. « Chaque jeune a le droit d’accéder à une information claire, complète et adaptée sur sa santé sexuelle et reproductive. Les adolescentes et adolescents ne doivent plus être victimes de silence, de stigmatisation ou de désinformation. Investir dans leur éducation sexuelle, c’est investir dans leur avenir et dans le développement de notre commune. Ensemble, garantissons un environnement sûr et éclairé à notre jeunesse », a-t-il déclaré.
Le lendemain, samedi 21 juin, deux groupes de discussion ont planché sur la communication parents-enfants et la déconstruction des stéréotypes liés à l’Ecs. Les échanges ont également porté sur les grossesses précoces, notamment celles contractées pendant les grandes vacances, ainsi que sur la prévention et la lutte contre les violences en milieu scolaire.
Prenant la parole, Irad Gbazale, présidente de l’Ong Femme en Action, a lancé un appel pressant aux parents : « Chers parents, le dialogue avec nos enfants doit être restauré parce que c’est une responsabilité. Osons parler de sexualité avec amour, respect et vérité tout en les orientant. Car un enfant bien informé est mieux protégé. La famille doit rester le premier espace de confiance où les jeunes trouvent des réponses à leurs questions sur leur corps, leurs émotions et leurs choix de vie. Brisons les tabous, pour bâtir une génération consciente, responsable et épanouie. »
Ces actions s’avèrent cruciales à l’heure où le Conseil national des droits de l’homme révèle que 4 481 cas de grossesses ont été enregistrés en cours de scolarité durant l’année 2024-2025, un chiffre alarmant qui souligne l’urgence d’intensifier la sensibilisation pour protéger la jeunesse ivoirienne.
Source: Sercom
Le 20 juin, la salle des fêtes de la Mairie a accueilli une animation publique présidée par M. Dotanah D. Koné, représentant le maire. Celui-ci a souligné l’importance de l’accès des jeunes à une information claire et complète sur leur santé sexuelle et reproductive. « Chaque jeune a le droit d’accéder à une information claire, complète et adaptée sur sa santé sexuelle et reproductive. Les adolescentes et adolescents ne doivent plus être victimes de silence, de stigmatisation ou de désinformation. Investir dans leur éducation sexuelle, c’est investir dans leur avenir et dans le développement de notre commune. Ensemble, garantissons un environnement sûr et éclairé à notre jeunesse », a-t-il déclaré.
Le lendemain, samedi 21 juin, deux groupes de discussion ont planché sur la communication parents-enfants et la déconstruction des stéréotypes liés à l’Ecs. Les échanges ont également porté sur les grossesses précoces, notamment celles contractées pendant les grandes vacances, ainsi que sur la prévention et la lutte contre les violences en milieu scolaire.
Prenant la parole, Irad Gbazale, présidente de l’Ong Femme en Action, a lancé un appel pressant aux parents : « Chers parents, le dialogue avec nos enfants doit être restauré parce que c’est une responsabilité. Osons parler de sexualité avec amour, respect et vérité tout en les orientant. Car un enfant bien informé est mieux protégé. La famille doit rester le premier espace de confiance où les jeunes trouvent des réponses à leurs questions sur leur corps, leurs émotions et leurs choix de vie. Brisons les tabous, pour bâtir une génération consciente, responsable et épanouie. »
Ces actions s’avèrent cruciales à l’heure où le Conseil national des droits de l’homme révèle que 4 481 cas de grossesses ont été enregistrés en cours de scolarité durant l’année 2024-2025, un chiffre alarmant qui souligne l’urgence d’intensifier la sensibilisation pour protéger la jeunesse ivoirienne.
Source: Sercom