Sica 2025 : Orun studio, la grande attraction panafricaine

La ministre Françoise Remarck a salué l'innovation apportée par ce groupe. (Ph: Dr)
La ministre Françoise Remarck a salué l'innovation apportée par ce groupe. (Ph: Dr)
La ministre Françoise Remarck a salué l'innovation apportée par ce groupe. (Ph: Dr)

Sica 2025 : Orun studio, la grande attraction panafricaine

Le 27/06/25 à 17:26
modifié 27/06/25 à 17:32
Le monde change. Il se transforme à une vitesse fulgurante... Intelligence artificielle, le métavers, les véhicules autonomes, le monde audiovisuel également.

En marge du Salon international du contenu audiovisuel, lancé le 26 juin, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, l’une des attractions a été l’Orun studio. Le premier studio transmédia panafricain d’envergure.

Ce studio veut redonner à l’Afrique le pouvoir de raconter son monde, avec ses formes, ses rythmes et ses symboles. Selon les responsables de ce groupe, ce lancement constitue bien plus qu’une inauguration : c’est un manifeste, celui d’un continent qui choisit de produire ses récits depuis l’intérieur, dans un langage contemporain, sans renier son héritage.

Le public, invité à découvrir pour la première fois l’univers d’Orun, a été séduit par cet empire créatif articulé autour de sept royaumes symboliques, chacun incarnant une priorité essentielle pour l’Afrique : la santé, l’éducation, la culture, l’écologie, l’artisanat, l’économie circulaire et les infrastructures durables.

Le point d’orgue de ce lancement a été une immersion au sein d’un dôme pensé comme un portail audiovisuel où mapping vidéo, spatialisation sonore, danse et narration visuelle se conjuguent pour offrir une expérience artistique à 360°C.

À l’occasion de son lancement au Sica, Orun a eu le plaisir de collaborer avec Loza Maleombho, une créatrice visionnaire, engagée dans le développement du continent, pour concevoir la direction artistique de son stand.

« Notre ambition est de bâtir un pont entre les racines africaines et les technologies du futur. Orun Studio ambitionne de soigner l’oubli par l’image. Il parle à la jeunesse dans sa langue, pour qu’elle se souvienne, s’enracine, et s’élève », a déclaré Habyba Thiero, fondatrice d’Orun.


Le 27/06/25 à 17:26
modifié 27/06/25 à 17:32