14e édition de la conférence annuelle Africa Business Conférence: Engagement pour une croissance durable portée par l’entrepreneuriat
La 14ème édition de la conférence annuelle Africa Business Conférence ouverte le 17 juin 2025 l'École nationale supérieure de statistique et d'économie appliquée (Ensea) a pris fin le vendredi 20 juin à l'Institut national polytechnique Houphouët Boigny (Inp-HB), à Yamoussoukro.
Organisée par l'Africa business and entrepreneurship research society (Abers), l'Inp-HB, l’Ensea et l'Institut panafricain de la gouvernance économique et financière (Ipagef), en collaboration avec la Faculté des sciences de l'administration de l'Université Laval (Canada), Virginia Commonwealth University (États-Unis), et d'autres partenaires institutionnels a permis selon Seydou Tuo, représentant du ministre du Commerce et de l’Industrie de démontrer une fois de plus que l’Afrique regorge de talents, d’idées novatrices et d’une jeunesse prête à relever les défis en opportunités.
Construire un entrepreneuriat moderne, résilient et inclusif
Mieux, ce colloque aura permis de mettre en lumière les réalités du terrain, les contraintes persistantes et aussi les solutions innovantes qui émergent sur le continent africain. « La Côte d’Ivoire a fait du secteur privé et de l’entrepreneuriat un axe central de la politique de son développement. De nombreuses réformes structurantes ont été engagées pour créer un environnement favorable à l’initiative privée. Notamment la création du guichet unique de formalisation des entreprises, le développement de plateformes numériques tel que le E-impôts. Nous croyons fermement que le succès de ces actions repose aussi sur la collaboration avec le monde académique, la recherche scientifique et le secteur privé », a-t-il assuré.
Pour lui, c’est ensemble que les pays construiront un entrepreneuriat moderne, résilient et inclusif. Le représentant du ministre a par ailleurs salué l’engagement et la vision de l’Abers pour sa contribution active à l’émergence d’un écosystème entrepreneurial africain plus dynamique, plus incisif et plus résilient. C’est pourquoi, il a formé le vœu que les conclusions de cette rencontre soient mises à profit non seulement par les autorités ivoiriennes mais aussi par l’ensemble des gouvernements africains soucieux de promouvoir une croissance durable portée par l’entrepreneuriat.
Le directeur général adjoint de l’Inp-HB, en charge de la pédagogie et la vie étudiante, Georges Loum a au nom du directeur général salué la tenue de la deuxième phase de cette conférence annuelle dont l’objectif est de fournir aux parties prenantes une compréhension approfondie des enjeux liés à la conduite des affaires en Afrique.
Rappelant que l’Afrique qui est en pleine mutation s’affirme de plus en plus comme un espace d’innovation, de croissance et de potentiels économiques importants. « Nous espérons que les panels, les sessions et les contributions recueillies contribueront à développer une collaboration internationale et des partenariats stratégiques, encourager des investissements dans des secteurs clés, valoriser les compétences locales et proposer des formations adaptées aux besoins réels des entreprises », a-t-il souhaité.
Quant à Patricia Cummins, elle a réitéré son engagement à promouvoir l’Afrique et surtout trouver des solutions pour l’aider à se développer. La conférence a eu pour thème, « L’Afrique émergente : Faire des affaires en Afrique : Défis et opportunités ».
Construire un entrepreneuriat moderne, résilient et inclusif
Mieux, ce colloque aura permis de mettre en lumière les réalités du terrain, les contraintes persistantes et aussi les solutions innovantes qui émergent sur le continent africain. « La Côte d’Ivoire a fait du secteur privé et de l’entrepreneuriat un axe central de la politique de son développement. De nombreuses réformes structurantes ont été engagées pour créer un environnement favorable à l’initiative privée. Notamment la création du guichet unique de formalisation des entreprises, le développement de plateformes numériques tel que le E-impôts. Nous croyons fermement que le succès de ces actions repose aussi sur la collaboration avec le monde académique, la recherche scientifique et le secteur privé », a-t-il assuré.
Pour lui, c’est ensemble que les pays construiront un entrepreneuriat moderne, résilient et inclusif. Le représentant du ministre a par ailleurs salué l’engagement et la vision de l’Abers pour sa contribution active à l’émergence d’un écosystème entrepreneurial africain plus dynamique, plus incisif et plus résilient. C’est pourquoi, il a formé le vœu que les conclusions de cette rencontre soient mises à profit non seulement par les autorités ivoiriennes mais aussi par l’ensemble des gouvernements africains soucieux de promouvoir une croissance durable portée par l’entrepreneuriat.
Le directeur général adjoint de l’Inp-HB, en charge de la pédagogie et la vie étudiante, Georges Loum a au nom du directeur général salué la tenue de la deuxième phase de cette conférence annuelle dont l’objectif est de fournir aux parties prenantes une compréhension approfondie des enjeux liés à la conduite des affaires en Afrique.
Rappelant que l’Afrique qui est en pleine mutation s’affirme de plus en plus comme un espace d’innovation, de croissance et de potentiels économiques importants. « Nous espérons que les panels, les sessions et les contributions recueillies contribueront à développer une collaboration internationale et des partenariats stratégiques, encourager des investissements dans des secteurs clés, valoriser les compétences locales et proposer des formations adaptées aux besoins réels des entreprises », a-t-il souhaité.
Quant à Patricia Cummins, elle a réitéré son engagement à promouvoir l’Afrique et surtout trouver des solutions pour l’aider à se développer. La conférence a eu pour thème, « L’Afrique émergente : Faire des affaires en Afrique : Défis et opportunités ».