Ange Badey est profondément attaché à sa terre natale. (Ph: Dr)
Éléphants : Le rêve d’enfant du Lavallois Ange Badey
En vacances à Abidjan, le jeune footballeur ivoirien de Laval (Ligue 2 de France), Ange Badey (22 ans) est allé le 19 juin 2025, présenter ses civilités aux dirigeants du football ivoirien. Accompagné de sa mère, Awa Zoromou, une handballeuse bien connue du pays et d’Afrique (Africa Sports 1980 à 2002), il a échangé avec plusieurs membres de la Fif.
« Je suis heureux de visiter le siège du football de mon pays. Depuis tout petit, je baigne dans le milieu du football, j’ai fait mes premiers pas à l’Afas, à Koumassi, le centre de formation de l’ancien joueur du Sabé Sports de Bouna, Aloka Sahoré, avant d’aller en France », a confié le jeune défenseur central de 1,90 m, qui a signé son premier contrat professionnel, en février 2023.
« Je ne sais pas si je dois dire que nous avons réalisé une bonne saison, parce que nous avons terminé 7e de Ligue 2. On a manqué de justesse l’accession aux play-offs... Bref ! Ce n’est que partie remise », regrette-t-il.
Dans un coin de sa tête, le jeune Ange Badey n’abandonne pas son rêve d’enfant, celui d’exploser au plus haut niveau et représenter son pays. « C’est pour cela que je travaille d’arrache-pied. C’est un peu timide, mais le joueur a foi en son avenir. Pour l’instant, c’est un peu timide, mais je suis sûr que je vais passer un cap dès la saison prochaine », rassure le défenseur lavallois, qui n’est pas si mal dans l’axe.
Pour tous ceux qui l’ont vu jouer, le fils d’Awa Zoromou possède beaucoup de qualités athlétiques et dégage une véritable puissance. Le Tango ivoirien a un potentiel et dispose encore d’une bonne marge de progression.
« J’ai suivi de bout en bout la dernière Can que le pays a remportée. C’était magique. Je veux faire partie d’une aventure pareille », lance Ange Badey, dont plusieurs amis comme Luc Zobé ont honoré leur première sélection début juin, à l’occasion du tournoi des 4 nations entre le Canada, la Côte d’Ivoire, la Nouvelle-Zélande et l’Ukraine.
En tout cas, son passage à la maison de verre de Treichville n’a pas été fortuit. Il peut être certain que les scouts des équipes nationales des U23 et seniors ont désormais l’œil sur lui.
« Je ne sais pas si je dois dire que nous avons réalisé une bonne saison, parce que nous avons terminé 7e de Ligue 2. On a manqué de justesse l’accession aux play-offs... Bref ! Ce n’est que partie remise », regrette-t-il.
Dans un coin de sa tête, le jeune Ange Badey n’abandonne pas son rêve d’enfant, celui d’exploser au plus haut niveau et représenter son pays. « C’est pour cela que je travaille d’arrache-pied. C’est un peu timide, mais le joueur a foi en son avenir. Pour l’instant, c’est un peu timide, mais je suis sûr que je vais passer un cap dès la saison prochaine », rassure le défenseur lavallois, qui n’est pas si mal dans l’axe.
Pour tous ceux qui l’ont vu jouer, le fils d’Awa Zoromou possède beaucoup de qualités athlétiques et dégage une véritable puissance. Le Tango ivoirien a un potentiel et dispose encore d’une bonne marge de progression.
« J’ai suivi de bout en bout la dernière Can que le pays a remportée. C’était magique. Je veux faire partie d’une aventure pareille », lance Ange Badey, dont plusieurs amis comme Luc Zobé ont honoré leur première sélection début juin, à l’occasion du tournoi des 4 nations entre le Canada, la Côte d’Ivoire, la Nouvelle-Zélande et l’Ukraine.
En tout cas, son passage à la maison de verre de Treichville n’a pas été fortuit. Il peut être certain que les scouts des équipes nationales des U23 et seniors ont désormais l’œil sur lui.