Traoré Adama, coordinateur des délégués des transporteurs du Haut Conseil du district d’Abidjan. (dr)
Traoré Adama, coordinateur des délégués des transporteurs du Haut Conseil du district d’Abidjan. (dr)
Grève avortée dans le secteur du transport en commun à Abidjan: Le délégué des transporteurs salue les acteurs et la presse
Traoré Adama, coordinateur des délégués des transporteurs du Haut conseil du district d’Abidjan, a remercié les acteurs du transport et les médias pour leur rôle dans le maintien du calme après l’annonce d’une grève qui n’a finalement pas eu lieu dans le secteur. C’était au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue le 13 juin 2025, au siège de la faîtière à Cocody II-Plateaux.
Pour le délégué des transporteurs du district d’Abidjan, cette conférence était nécessaire après l’inquiétude qui planait sur le milieu du transport commun relativement à une grève de 72 heures qui avait été annoncée du lundi 10 au mercredi 13 juin.
« Nous nous sommes érigés en bon samaritain pour répondre au problème tout en comptant sur vous pour relayer notre désir de ne pas voir la grève avoir lieu. Dieu merci, la grève n’a pas eu lieu. Tout le monde a fait le constat. Le terrain est calme. Les populations vaquent à leurs occupations. Le plus important, c’est que personne n’a senti qu’il y a un problème », a-t-il affirmé.
Selon Traoré Adama, ce n’était pas évident parce que la conférence de presse pour les dissuader qui s’est tenue le 3 juin était proche de leur entrée en grève. Mais à l’entendre, il a fallu qu’il puisse discuter avec les acteurs du transport dans leur ensemble pour y parvenir.
« Nous avons pu discuter et nous nous sommes mis d’accord qu’une grève n’est pas la solution. Le plus important, c’est de dialoguer et trouver des solutions idoines à tout problème qui pourrait se poser en notre sein parce que le secteur du transport est un milieu très sensible. Il nous faut faire beaucoup attention, surtout que nous sommes dans une année électorale », a-t-il appuyé.
C’est pourquoi, a-t-il dit, ils ont trouvé important, avec ses amis du Haut conseil du district d’Abidjan, de dire merci à ceux-là qui ont accepté d’écouter leurs propositions en optant pour l’ordre dans le secteur.
Par ailleurs, il a émis le souhait que dorénavant, pour tout désaccord, chaque acteur du transport, quel que soit son niveau, accepte le dialogue, l’entente, la cohésion et le vivre-ensemble.
« Nous ne souhaitons pas qu’à chaque fois qu’il y a un problème, que ce soit avec les autorités ou une tierce personne, notre réflexe soit d’aller au dialogue pour trouver des solutions. Cultivons la paix, cela va nous permettre d’aller de l’avant », a conclu Traoré Adama, coordinateur des délégués des transporteurs du Haut conseil du district d’Abidjan.
DANIELLE SERI (Stagiaire)
« Nous nous sommes érigés en bon samaritain pour répondre au problème tout en comptant sur vous pour relayer notre désir de ne pas voir la grève avoir lieu. Dieu merci, la grève n’a pas eu lieu. Tout le monde a fait le constat. Le terrain est calme. Les populations vaquent à leurs occupations. Le plus important, c’est que personne n’a senti qu’il y a un problème », a-t-il affirmé.
Selon Traoré Adama, ce n’était pas évident parce que la conférence de presse pour les dissuader qui s’est tenue le 3 juin était proche de leur entrée en grève. Mais à l’entendre, il a fallu qu’il puisse discuter avec les acteurs du transport dans leur ensemble pour y parvenir.
« Nous avons pu discuter et nous nous sommes mis d’accord qu’une grève n’est pas la solution. Le plus important, c’est de dialoguer et trouver des solutions idoines à tout problème qui pourrait se poser en notre sein parce que le secteur du transport est un milieu très sensible. Il nous faut faire beaucoup attention, surtout que nous sommes dans une année électorale », a-t-il appuyé.
C’est pourquoi, a-t-il dit, ils ont trouvé important, avec ses amis du Haut conseil du district d’Abidjan, de dire merci à ceux-là qui ont accepté d’écouter leurs propositions en optant pour l’ordre dans le secteur.
Par ailleurs, il a émis le souhait que dorénavant, pour tout désaccord, chaque acteur du transport, quel que soit son niveau, accepte le dialogue, l’entente, la cohésion et le vivre-ensemble.
« Nous ne souhaitons pas qu’à chaque fois qu’il y a un problème, que ce soit avec les autorités ou une tierce personne, notre réflexe soit d’aller au dialogue pour trouver des solutions. Cultivons la paix, cela va nous permettre d’aller de l’avant », a conclu Traoré Adama, coordinateur des délégués des transporteurs du Haut conseil du district d’Abidjan.
DANIELLE SERI (Stagiaire)