Cela en mettant en exergue les avancées en matière de représentation féminine tout en dénonçant les obstacles systémiques à l’exercice effectif du pouvoir par les femmes dans les sphères décisionnelles ouest-africaines. Son approche novatrice, mêlant diagnostics politiques et propositions concrètes, s’est traduite par des recommandations. Parmi lesquelles figure la création d’un Observatoire régional de la parité parlementaire, l’instauration d’un mécanisme annuel de suivi et d’évaluation des avancées en matière de genre, et l’institution d’un prix de la parité visant à récompenser les efforts gouvernementaux significatifs en faveur de l’égalité femmes-hommes.

Au terme de son intervention, la Vice-présidente du Sénat de Côte d’Ivoire a obtenu des félicitations unanimes du jury. Ces derniers ont salué la qualité de son travail qu’ils ont jugé à la croisée de la science politique, du droit institutionnel et des études de genre. Ils ont par ailleurs recommandé la publication scientifique des travaux.

Chantal devient ainsi pionnière des femmes parlementaires africaines à soutenir une thèse sur le rééquilibrage des pouvoirs dans une institution régionale telle que la Cedeao.

DANIELLE SERI (Stagiaire)

La Vice-présidente du Sénat de Côte d’Ivoire, par ailleurs première Vice-présidente du Bureau des femmes parlementaires de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest( Cedeao ), Chantal Fanny, est désormais docteur en Administration des Affaires (Dba). En effet, elle a obtenu la mention très honorable lors de sa soutenance qui s’est tenue le mercredi 11 juin 2025 à l’Institut de Recherche et de Formation à l’Action Sociale à Évry-Courcouronnes, France. Une université en partenariat avec le Centre de valorisation des parcours et des talents – Tunisie et l’Institut Africain de recherche et d’action en administration publique.

Dr Chantal Fanny a, à cette occasion, exposé sur : « Inclusion féminine et dynamiques des pouvoirs au sein du Parlement de la Cedeao: Vers une transformation durable ? ». À travers cette thématique, elle a mis en évidence les réalités institutionnelles du Parlement dans une analyse rigoureuse mêlant enquêtes de terrain et documentation scientifique.

Cela en mettant en exergue les avancées en matière de représentation féminine tout en dénonçant les obstacles systémiques à l’exercice effectif du pouvoir par les femmes dans les sphères décisionnelles ouest-africaines. Son approche novatrice, mêlant diagnostics politiques et propositions concrètes, s’est traduite par des recommandations. Parmi lesquelles figure la création d’un Observatoire régional de la parité parlementaire, l’instauration d’un mécanisme annuel de suivi et d’évaluation des avancées en matière de genre, et l’institution d’un prix de la parité visant à récompenser les efforts gouvernementaux significatifs en faveur de l’égalité femmes-hommes.

Au terme de son intervention, la Vice-présidente du Sénat de Côte d’Ivoire a obtenu des félicitations unanimes du jury. Ces derniers ont salué la qualité de son travail qu’ils ont jugé à la croisée de la science politique, du droit institutionnel et des études de genre. Ils ont par ailleurs recommandé la publication scientifique des travaux.

Chantal devient ainsi pionnière des femmes parlementaires africaines à soutenir une thèse sur le rééquilibrage des pouvoirs dans une institution régionale telle que la Cedeao.

DANIELLE SERI (Stagiaire)