Irel Flora,présidente de l ONG COMCIT (Micro en main)
Côte d’Ivoire : L’Ong ComCit alerte sur les dangers de la désinformation électorale
Abidjan, 9 juin 2025 – À l’approche de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, l’ONG Communication et Citoyenneté (ComCit) intensifie sa mobilisation pour un usage responsable du numérique. Consciente des dangers que représente la désinformation en ligne, l’organisation mène une vaste campagne de sensibilisation afin de prévenir les dérives liées à la circulation incontrôlée de fausses informations sur les réseaux sociaux.
Dans un contexte électoral sensible, où la moindre rumeur peut déclencher des tensions sociales, ComCit appelle à la vigilance de tous les acteurs du numérique. Sa présidente, Flora IREL, analyste des politiques publiques, tire la sonnette d’alarme : « Un post peut enflammer un quartier. Une vidéo mensongère peut faire basculer un pays. La désinformation n’est pas virtuelle. Elle est meurtrière. »
L’ONG dénonce une « guerre de l’ombre » qui se joue sur les plateformes numériques, alimentée par des fake news, du cyberharcèlement, des insultes et des manipulations. « Ce phénomène, trop souvent banalisé, fragilise notre vivre-ensemble, sape notre démocratie et menace la paix sociale », alerte ComCit.
Pour y faire face, l’organisation mène des sessions interactives à l’endroit des citoyens. Objectif : développer leur esprit critique et leur fournir des outils pour détecter et contrer la désinformation. L’approche pédagogique vise aussi à responsabiliser chaque acteur de la sphère numérique.
ComCit adresse un message clair à toutes les parties prenantes. Aux citoyens : « Vérifiez les informations avant de les partager. » Aux responsables politiques : « Cessez de sponsoriser la haine et de manipuler l’opinion via des activistes numériques. » Aux blogueurs et communicants politiques : « Le buzz ne vaut pas une vie. La liberté d’expression n’est pas un permis de nuire. »
L’ONG exhorte chacun à contribuer à un espace informationnel sain, fondé sur la vérité et le respect. Elle rappelle que la paix sociale repose aussi sur la qualité des débats publics et l’honnêteté des échanges numériques.
À travers cette campagne, ComCit affirme son engagement à jouer un rôle actif dans la préservation d’un climat pré-électoral apaisé, en promouvant une citoyenneté numérique responsable. Plus qu’un simple mot d’ordre, c’est un appel à la conscience collective, pour que les écrans ne deviennent pas des armes de division, mais des outils au service de la démocratie.
Source : Sercom
L’ONG dénonce une « guerre de l’ombre » qui se joue sur les plateformes numériques, alimentée par des fake news, du cyberharcèlement, des insultes et des manipulations. « Ce phénomène, trop souvent banalisé, fragilise notre vivre-ensemble, sape notre démocratie et menace la paix sociale », alerte ComCit.
Pour y faire face, l’organisation mène des sessions interactives à l’endroit des citoyens. Objectif : développer leur esprit critique et leur fournir des outils pour détecter et contrer la désinformation. L’approche pédagogique vise aussi à responsabiliser chaque acteur de la sphère numérique.
ComCit adresse un message clair à toutes les parties prenantes. Aux citoyens : « Vérifiez les informations avant de les partager. » Aux responsables politiques : « Cessez de sponsoriser la haine et de manipuler l’opinion via des activistes numériques. » Aux blogueurs et communicants politiques : « Le buzz ne vaut pas une vie. La liberté d’expression n’est pas un permis de nuire. »
L’ONG exhorte chacun à contribuer à un espace informationnel sain, fondé sur la vérité et le respect. Elle rappelle que la paix sociale repose aussi sur la qualité des débats publics et l’honnêteté des échanges numériques.
À travers cette campagne, ComCit affirme son engagement à jouer un rôle actif dans la préservation d’un climat pré-électoral apaisé, en promouvant une citoyenneté numérique responsable. Plus qu’un simple mot d’ordre, c’est un appel à la conscience collective, pour que les écrans ne deviennent pas des armes de division, mais des outils au service de la démocratie.
Source : Sercom