Les visiteurs émerveillés par les œuvres de l'artiste. (Ph: Bavane)
Exposition/Quand les maux deviennent mots : Ulrik Abé dans un voyage introspectif au Musée d’Abobo
Débuté le 27 avril, au Musée des Cultures contemporaines Adama Toungara (MuCAT) d’Abobo, le vernissage du peintre Ulrik Abé se poursuit jusqu'au 15 juin 2025.
Avec les œuvres : "L'incompris" ; "Espérance de vie" ; "Faux profil" ; "Pression du monde" ; "Morel" ; "Reflets" ; "Ma prière" ; "Rêve" ; "Overdose, 100 toi" ; "Black&white" ; le créateur du style Art’boki crée un dialogue entre peinture, slam et musique.
Ulrik Abé à travers ce projet y aborde sans détour les réalités souvent tues : dépression, anxiété, solitude, pression sociale et quête de soi. À travers cette exposition et un album collaboratif, ce projet affirme que l’art peut être un cri, une voie vers la guérison.
« A travers ce projet, je sensibilise à la santé mentale ; je déconstruis les tabous et ouvre le dialogue. Surtout j’encourage l’art-thérapie comme outil de transformation ; je crée une communauté de soutien artistique et humaine et célèbre l’expression libre des émotions », indique l’artiste visité ce dimanche 8 juin.
Dans ce projet que conduit monsieur Café, est né un album collaboratif : miroir sonore de l’exposition. Où se mêlent slams, voix, rythmes et afro-conscience, spoken word, musique de l’âme. Un condensé de textes brûlant d’humanité où des artistes engagés aux côtés du peintre, tels que Nin’wlou, Sahara Fashion, l’Encre des Étoiles, Dei Gostel, Evans Sax, Ako, Placide Konan et Mawata, font de leur art, celui au service d‘un autre art. Une bande-son de la résilience est d’ailleurs disponible sur toutes les plateformes numériques pour panser ce qui peut l’être.
Depuis le 27 avril donc, ce sont des ateliers de peinture et expression artistique pour la jeunesse ; des panels thématiques : "Jeunesse et santé mentale, art comme thérapie, résilience au travail" ; des performances live & Slams et rencontres avec les artistes de l’album qui constituent le programme.
Ulrik Abé à travers ce projet y aborde sans détour les réalités souvent tues : dépression, anxiété, solitude, pression sociale et quête de soi. À travers cette exposition et un album collaboratif, ce projet affirme que l’art peut être un cri, une voie vers la guérison.
« A travers ce projet, je sensibilise à la santé mentale ; je déconstruis les tabous et ouvre le dialogue. Surtout j’encourage l’art-thérapie comme outil de transformation ; je crée une communauté de soutien artistique et humaine et célèbre l’expression libre des émotions », indique l’artiste visité ce dimanche 8 juin.
Dans ce projet que conduit monsieur Café, est né un album collaboratif : miroir sonore de l’exposition. Où se mêlent slams, voix, rythmes et afro-conscience, spoken word, musique de l’âme. Un condensé de textes brûlant d’humanité où des artistes engagés aux côtés du peintre, tels que Nin’wlou, Sahara Fashion, l’Encre des Étoiles, Dei Gostel, Evans Sax, Ako, Placide Konan et Mawata, font de leur art, celui au service d‘un autre art. Une bande-son de la résilience est d’ailleurs disponible sur toutes les plateformes numériques pour panser ce qui peut l’être.
Depuis le 27 avril donc, ce sont des ateliers de peinture et expression artistique pour la jeunesse ; des panels thématiques : "Jeunesse et santé mentale, art comme thérapie, résilience au travail" ; des performances live & Slams et rencontres avec les artistes de l’album qui constituent le programme.