Artci
Secteur postal : Un cadre de réflexion pour bâtir un avenir durable, résilient et inclusif
À l’initiative de l’Autorité de régulation des télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire (ARTCI), un atelier de réflexion sur l’avenir du secteur postal s’est ouvert le 4 juin 2025, au siège de l’institution, à Marcory.
Durant deux jours, les 4 et 5 juin, les différents acteurs du secteur postal prennent part à cet atelier placé sous le thème : « Digitalisation et durabilité dans le secteur postal : rôle du régulateur ». L’objectif est de débattre des mutations profondes que connaît le secteur et de proposer des solutions adaptées aux enjeux actuels.
Prenant la parole à l’ouverture des travaux, Korotoumou Diabaté, conseillère juridique représentant le directeur général de l’ARTCI, a souligné que l’atelier s’articule autour de trois enjeux majeurs. Le premier est le changement climatique, qui impose une adaptation des infrastructures, des méthodes, des modes de transport et des processus énergétiques. Le deuxième est la durabilité, tant environnementale, économique que sociale, qui conditionne la résilience à long terme des services postaux. Le troisième enfin est la digitalisation, qui transforme à une vitesse fulgurante les usages et les attentes des usagers.
« Ces trois thématiques ne sont pas isolées. Elles s’inscrivent dans une dynamique de transformation globale », a-t-elle précisé, appelant à une action concertée pour construire un service postal moderne, inclusif et durable.
De son côté, Alexandre Ipou, président du comité scientifique de l’atelier et chef du département marché à la direction de la régulation postale de l’ARTCI, a mis l’accent sur le rôle crucial des régulateurs. Ces derniers, selon lui, doivent encadrer, accompagner et orienter les transformations du secteur de manière inclusive, responsable et résiliente.
Il a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans une double perspective : d’une part, la digitalisation, qui bouleverse les chaînes de valeur postales traditionnelles, et d’autre part, la durabilité, qui s’impose face aux effets croissants du changement climatique.
Pour M. Ipou, le régulateur a la responsabilité de garantir un cadre équitable et concurrentiel, de promouvoir une innovation responsable, d’accompagner les opérateurs dans la transition numérique et écologique, et de renforcer la résilience du secteur face aux crises.
C’est pourquoi, a-t-il conclu, cet atelier vise à permettre aux participants de mieux comprendre les enjeux actuels, de s’approprier les enseignements issus des interventions et panels, et surtout, de repartir avec des pistes concrètes d’implémentation dans leurs domaines respectifs.
Prenant la parole à l’ouverture des travaux, Korotoumou Diabaté, conseillère juridique représentant le directeur général de l’ARTCI, a souligné que l’atelier s’articule autour de trois enjeux majeurs. Le premier est le changement climatique, qui impose une adaptation des infrastructures, des méthodes, des modes de transport et des processus énergétiques. Le deuxième est la durabilité, tant environnementale, économique que sociale, qui conditionne la résilience à long terme des services postaux. Le troisième enfin est la digitalisation, qui transforme à une vitesse fulgurante les usages et les attentes des usagers.
« Ces trois thématiques ne sont pas isolées. Elles s’inscrivent dans une dynamique de transformation globale », a-t-elle précisé, appelant à une action concertée pour construire un service postal moderne, inclusif et durable.
De son côté, Alexandre Ipou, président du comité scientifique de l’atelier et chef du département marché à la direction de la régulation postale de l’ARTCI, a mis l’accent sur le rôle crucial des régulateurs. Ces derniers, selon lui, doivent encadrer, accompagner et orienter les transformations du secteur de manière inclusive, responsable et résiliente.
Il a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans une double perspective : d’une part, la digitalisation, qui bouleverse les chaînes de valeur postales traditionnelles, et d’autre part, la durabilité, qui s’impose face aux effets croissants du changement climatique.
Pour M. Ipou, le régulateur a la responsabilité de garantir un cadre équitable et concurrentiel, de promouvoir une innovation responsable, d’accompagner les opérateurs dans la transition numérique et écologique, et de renforcer la résilience du secteur face aux crises.
C’est pourquoi, a-t-il conclu, cet atelier vise à permettre aux participants de mieux comprendre les enjeux actuels, de s’approprier les enseignements issus des interventions et panels, et surtout, de repartir avec des pistes concrètes d’implémentation dans leurs domaines respectifs.