Sara Cedeao
Autonomisation des femmes : un impératif de développement selon la Cedeao
La Cedeao s'est engagée à mettre les femmes au cœur de l'intégration économique ouest-africaine, lors des assises du Sara 2025.
Les femmes représentent plus de 70 % des acteurs de l’agriculture dans l’espace Cedeao et dominent le commerce transfrontalier informel. Pourtant, elles restent les grandes oubliées des politiques économiques.
Pour ce faire, lors d’un panel organisé le jeudi 29 mai 2025, par la Cedeao, au Parc des expositions d’Abidjan, dans le cadre du Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (Sara), des spécialistes du genre venues de différents pays d’Afrique de l’ouest ont lancé un plaidoyer fort : faire de l’autonomisation féminine un levier de transformation pour l’économie régionale. « Il n’y a pas de sécurité alimentaire sans les femmes. Il n’y a pas de commerce régional dynamique sans elles », ont martelé les panelistes, insistant sur l’urgence de replacer la question du genre au cœur des politiques commerciales.
En outre, la Cedeao entend désormais aller plus loin, en intégrant davantage les femmes dans les instances de décision locales, nationales et régionales, et en les dotant de moyens concrets pour déployer leur plein potentiel.
« Les femmes réinjectent jusqu’à 90 % de leurs revenus dans la santé, la nutrition et l’éducation de leurs enfants. Autrement dit, investir dans les femmes, c’est investir dans la résilience sociale, la sécurité alimentaire et le développement humain durablement », a déclaré, la présidente des femmes d’affaires de la Cedeao, Candide Leguédé.
En misant sur l’autonomisation féminine comme vecteur d’intégration régionale, la Cedeao pose ainsi les jalons d’un modèle de croissance plus équitable, plus inclusif, et surtout plus durable.
En outre, la Cedeao entend désormais aller plus loin, en intégrant davantage les femmes dans les instances de décision locales, nationales et régionales, et en les dotant de moyens concrets pour déployer leur plein potentiel.
« Les femmes réinjectent jusqu’à 90 % de leurs revenus dans la santé, la nutrition et l’éducation de leurs enfants. Autrement dit, investir dans les femmes, c’est investir dans la résilience sociale, la sécurité alimentaire et le développement humain durablement », a déclaré, la présidente des femmes d’affaires de la Cedeao, Candide Leguédé.
En misant sur l’autonomisation féminine comme vecteur d’intégration régionale, la Cedeao pose ainsi les jalons d’un modèle de croissance plus équitable, plus inclusif, et surtout plus durable.