Concours d’entrée à l’École nationale des Eaux et Forêts : 1 000 futurs agents en lice pour relever le défi environnemental

Concours d’entrée à l’École nationale des Eaux et Forêts : les épreuves écrites se déroulent dans le calme et la rigueur
Concours d’entrée à l’École nationale des Eaux et Forêts : les épreuves écrites se déroulent dans le calme et la rigueur
Concours d’entrée à l’École nationale des Eaux et Forêts : les épreuves écrites se déroulent dans le calme et la rigueur

Concours d’entrée à l’École nationale des Eaux et Forêts : 1 000 futurs agents en lice pour relever le défi environnemental

Le 01/06/25 à 20:04
modifié 01/06/25 à 20:08
La dernière étape du concours d’entrée à l’École nationale des Eaux et Forêts (ENEF), à savoir les épreuves écrites, s’est tenue le dimanche 1er juin 2025 dans une atmosphère sereine. Après les examens médicaux et les épreuves physiques entamées depuis février, les 1 000 candidats encore en lice ont affronté les épreuves écrites réparties entre quatre centres de composition à Bingerville.

Au total, 25 postes sont réservés aux candidats de niveau BAC et 975 à ceux titulaires du BEPC. Les admis bénéficieront d’une formation commune de base à caractère militaire d’une durée de trois mois, suivie d’un apprentissage technique approfondi dans les domaines de la forêt, de la faune et des ressources en eau.

Le lancement officiel des épreuves a eu lieu au lycée Mamie Faitai, sous la supervision du Conservateur général Aké Abro Ba Jérôme, représentant le ministre des Eaux et Forêts, M. Laurent Tchagba. Il était entouré de Maître Botti Éric, représentant l’étude de Maître Potey Siméon, commissaire de justice, et de plusieurs responsables de centre. Les autres sites retenus pour les compositions sont le lycée de garçons de Bingerville et le collège moderne de la même localité.

« Nous sommes à la phase finale d’un processus rigoureux commencé en février. Tout est en place pour garantir la transparence et l’efficacité de ce concours. Les candidats, les surveillants et les chefs de centre sont mobilisés et engagés. Nous avons bon espoir d’atteindre les objectifs visés, à savoir le renforcement des capacités opérationnelles de l’administration forestière », a souligné M. Aké Jérôme.

Les aspirants agents ont été évalués dans plusieurs disciplines : mathématiques, sciences physiques et naturelles, culture générale et connaissance de l’administration. Les résultats seront proclamés conformément aux directives ministérielles.

Ce concours s’inscrit dans la volonté des autorités de renforcer les effectifs des agents techniques des Eaux et Forêts, un maillon stratégique dans la préservation de l’environnement et la gestion durable des ressources naturelles.



Le 01/06/25 à 20:04
modifié 01/06/25 à 20:08