Un partenariat qui permettra la création d'une cinquantaine d'emplois. (Ph: Dr)
Transformation des coques de noix de cajou: Une entreprise belge investit 2 milliards de Fcfa en Côte d’Ivoire
Une forte délégation venue du Royaume de Belgique et conduite par le vice-Premier ministre des Affaires étrangères, des Affaires européennes et de la Coopération au développement Belge, Maxime Prévot, s'est rendue le 27 mai 2025, dans les locaux de Foods'co SA, une entreprise ivoirienne spécialisée dans la transformation de noix de Cajou, située à Marcory Zone 3.
L’objectif visé était la signature d'une convention de partenariat entre Bio invest, une entreprise Belge et l’entreprise ivoirienne portant sur un montant de 2 milliards de Fcfa pour la construction d'une unité de transformation des coques d'anacarde.
Le président directeur général, Tahirou Sanogo, a fait savoir que cette convention de partenariat est un acte très important pour sa structure.
« C'est une superbe opportunité pour elle parce que le domaine de la transformation du cajou est un secteur important et vital pour l'économie de la Côte d'Ivoire en termes de perspectives. Malheureusement les coques qui sont les derniers déchets de cette culture d'anacarde constituent un challenge pour le développement de ce secteur. Le projet va consister à mettre en œuvre une unité de transformation pour valoriser ces coques pour en faire de l'huile et du charbon de coques. Il nous permettra d'économiser, d'éviter d'abattre les arbres, de préserver l'environnement. C'est un projet important de sauvegarde de la forêt », a-t-il confié, ajoutant que ce projet permettra de créer 50 emplois, mais en réalité, il permettra aussi la survie de plus 600 autres emplois.
Le vice-Premier ministre des Affaires étrangères du Royaume de Belgique, Maxime Prévot, a indiqué que ce projet s'inscrit dans le cadre de sa coopération internationale avec les pays partenaires.
A l'en croire, depuis de longues dates, il existe des liens forts entre la Belgique et la Côte d'Ivoire. Ces liens se traduisent sur le plan économique et cet acte en est une illustration parfaite.
« Nous sommes convaincus en tant que continent voisin, que nous ne devons pas regarder avec dédain, depuis l'Europe, la faculté du développement économique de l'Afrique, mais au contraire, nous devons y contribuer à créer de l'emploi local. C'est donc de la plus-value humaine. Cela crée du capital et de la richesse pour le pays. C'est un projet qui s'inscrit dans une démarche de développement durable conforme aux objectifs que nous défendons », a-t-il souligné.
Il a conclu en disant que ce projet peut servir à consolider la cohésion sociale. C'est une opération qui est exclusivement gagnante pour tous avec une satisfaction humaine et économique au bout de la chaîne. Il faut souligner que l'entreprise Bio Invest était représentée par son président directeur général, Joris Totté.
Cette cérémonie de signature a eu lieu en présence des représentants des ministères de l'Agriculture ; du Commerce et S.E.Mme Carolle Van Eyll, ambassadeur du Royaume de Belgique en Côte d'Ivoire.
Le président directeur général, Tahirou Sanogo, a fait savoir que cette convention de partenariat est un acte très important pour sa structure.
« C'est une superbe opportunité pour elle parce que le domaine de la transformation du cajou est un secteur important et vital pour l'économie de la Côte d'Ivoire en termes de perspectives. Malheureusement les coques qui sont les derniers déchets de cette culture d'anacarde constituent un challenge pour le développement de ce secteur. Le projet va consister à mettre en œuvre une unité de transformation pour valoriser ces coques pour en faire de l'huile et du charbon de coques. Il nous permettra d'économiser, d'éviter d'abattre les arbres, de préserver l'environnement. C'est un projet important de sauvegarde de la forêt », a-t-il confié, ajoutant que ce projet permettra de créer 50 emplois, mais en réalité, il permettra aussi la survie de plus 600 autres emplois.
Le vice-Premier ministre des Affaires étrangères du Royaume de Belgique, Maxime Prévot, a indiqué que ce projet s'inscrit dans le cadre de sa coopération internationale avec les pays partenaires.
A l'en croire, depuis de longues dates, il existe des liens forts entre la Belgique et la Côte d'Ivoire. Ces liens se traduisent sur le plan économique et cet acte en est une illustration parfaite.
« Nous sommes convaincus en tant que continent voisin, que nous ne devons pas regarder avec dédain, depuis l'Europe, la faculté du développement économique de l'Afrique, mais au contraire, nous devons y contribuer à créer de l'emploi local. C'est donc de la plus-value humaine. Cela crée du capital et de la richesse pour le pays. C'est un projet qui s'inscrit dans une démarche de développement durable conforme aux objectifs que nous défendons », a-t-il souligné.
Il a conclu en disant que ce projet peut servir à consolider la cohésion sociale. C'est une opération qui est exclusivement gagnante pour tous avec une satisfaction humaine et économique au bout de la chaîne. Il faut souligner que l'entreprise Bio Invest était représentée par son président directeur général, Joris Totté.
Cette cérémonie de signature a eu lieu en présence des représentants des ministères de l'Agriculture ; du Commerce et S.E.Mme Carolle Van Eyll, ambassadeur du Royaume de Belgique en Côte d'Ivoire.