
Les représentants d’Helen Keller International, les autorités locales et les leaders communautaires réunis pour le lancement du projet nutritionnel.
Les représentants d’Helen Keller International, les autorités locales et les leaders communautaires réunis pour le lancement du projet nutritionnel.
Tchologo/Sécurité alimentaire : Helen Keller International lance un ambitieux projet de nutrition
« Cultivons un avenir meilleur » : tel est le nom du projet officiellement lancé le mardi 20 mai dernier à Ferkessédougou, en présence des autorités préfectorales, administratives, coutumières, des parties prenantes et de nombreux leaders communautaires de la région du Tchologo.
Cette initiative est portée par l’organisation humanitaire Helen Keller International (HKI). Selon Coulibaly Zoumana, directeur des programmes de HKI Côte d’Ivoire, le projet a pour objectif de renforcer durablement la sécurité alimentaire, la nutrition et les conditions de vie des ménages vulnérables.
Il a précisé que ce projet repose sur la promotion d’une agriculture climato-intelligente et nutritionnelle, capable d'aider les communautés à mieux faire face aux chocs climatiques et économiques. « Il est donc essentiel que les populations s’approprient ce projet, afin de promouvoir une alimentation saine, lutter contre la pauvreté et contribuer à la préservation de l’environnement », a-t-il souligné.
De son côté, Sékongo Pkayeregué Adama, coordonnateur des systèmes alimentaires durables à HKI, a présenté les grandes lignes du projet. Il a détaillé la stratégie pragmatique adoptée, les principales composantes, la structuration des activités, ainsi que les approches techniques intégrées dans la chaîne de mise en œuvre.
Selon lui, le projet prévoit notamment, le renforcement de la résilience économique des femmes, à travers un meilleur accès aux ressources financières et aux opportunités économiques ; l’augmentation et la diversification de la production agricole, en soutenant les femmes agricultrices et leurs familles ; l’intégration de la nutrition et de l’hygiène dans les pratiques alimentaires et sanitaires, pour améliorer l’état nutritionnel et le bien-être des communautés.
Présent à cette cérémonie, M. Tapé Laba, secrétaire général de la préfecture de région de Ferkessédougou, a encouragé les populations bénéficiaires à s’engager pleinement dans la mise en œuvre du projet.
À noter qu’en Côte d’Ivoire, « Cultivons un avenir meilleur » sera déployé dans 40 localités, ciblant prioritairement les groupements de femmes agricoles et les ménages vulnérables des régions du Poro, du Tchologo et du Bounkani.
Infos : Tommy
Il a précisé que ce projet repose sur la promotion d’une agriculture climato-intelligente et nutritionnelle, capable d'aider les communautés à mieux faire face aux chocs climatiques et économiques. « Il est donc essentiel que les populations s’approprient ce projet, afin de promouvoir une alimentation saine, lutter contre la pauvreté et contribuer à la préservation de l’environnement », a-t-il souligné.
De son côté, Sékongo Pkayeregué Adama, coordonnateur des systèmes alimentaires durables à HKI, a présenté les grandes lignes du projet. Il a détaillé la stratégie pragmatique adoptée, les principales composantes, la structuration des activités, ainsi que les approches techniques intégrées dans la chaîne de mise en œuvre.
Selon lui, le projet prévoit notamment, le renforcement de la résilience économique des femmes, à travers un meilleur accès aux ressources financières et aux opportunités économiques ; l’augmentation et la diversification de la production agricole, en soutenant les femmes agricultrices et leurs familles ; l’intégration de la nutrition et de l’hygiène dans les pratiques alimentaires et sanitaires, pour améliorer l’état nutritionnel et le bien-être des communautés.
Présent à cette cérémonie, M. Tapé Laba, secrétaire général de la préfecture de région de Ferkessédougou, a encouragé les populations bénéficiaires à s’engager pleinement dans la mise en œuvre du projet.
À noter qu’en Côte d’Ivoire, « Cultivons un avenir meilleur » sera déployé dans 40 localités, ciblant prioritairement les groupements de femmes agricoles et les ménages vulnérables des régions du Poro, du Tchologo et du Bounkani.
Infos : Tommy