Atelier de formation Ip-Ci
Atelier de Formation sur la Propriété Intellectuelle : Un levier stratégique pour les chercheurs ivoiriens
Les 27 et 28 mai 2025, l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) a accueilli un atelier de formation sur la Propriété Intellectuelle (PI), à l’intention des membres de la Société Ivoirienne des Chercheurs (SIVDC) en général, et des chercheurs de l’IPCI en particulier. Cette initiative, soutenue par le Fonds pour la Science, la Technologie et l’Innovation (FONSTI), visait à doter les participants d’outils pratiques pour mieux protéger et valoriser leurs innovations.
Dans son allocution d’ouverture, le Professeur Méité Syndou, directeur de l’IPCI, a salué la pertinence de cette formation et exprimé sa reconnaissance envers les organisateurs. Il a encouragé les participants et les formateurs à tirer pleinement parti de cet atelier pour renforcer leurs compétences dans un domaine devenu incontournable pour la recherche.
La Propriété Intellectuelle, en effet, joue un rôle clé dans le développement scientifique et économique. Brevets, droits d’auteur, marques et savoir-faire représentent des actifs immatériels stratégiques qui permettent d’attirer des investissements, de favoriser l’innovation et d’accroître la compétitivité des institutions. Pourtant, de nombreux chercheurs méconnaissent encore les mécanismes de protection de leurs résultats ou les stratégies de transfert technologique.
« Cet atelier est une première étape. Nous espérons que les chercheurs repartiront avec la détermination de devenir des ambassadeurs de la Propriété Intellectuelle au sein de leurs laboratoires », a déclaré M. Assamoa Patrick, représentant du Directeur Général du FONSTI.
Conscient de cet enjeu, l’atelier a été structuré autour de six modules thématiques, poursuivant trois objectifs principaux :
(i) sensibiliser aux institutions et dispositifs de protection des résultats de recherche (OAPI, API, etc.) ;
(ii) former aux démarches de dépôt, notamment les brevets et les obtentions végétales ;
(iii) analyser les stratégies de transfert des innovations vers le monde industriel.
« Protéger une invention, c’est garantir son exploitation et sa contribution au développement économique », a souligné pour sa part le Dr Koffi Ahua René, Secrétaire Exécutif de la SIVDC.
La première journée a été consacrée aux fondamentaux de la Propriété Intellectuelle, aux procédures de brevetage et aux spécificités des obtentions végétales. Les participants ont échangé sur les erreurs fréquentes lors des dépôts de brevets. La seconde journée a abordé les droits exclusifs, les sanctions liées à la contrefaçon, la gestion des portefeuilles de PI (optimisation du rapport coûts/bénéfices), ainsi que les aspects internationaux tels que les conventions de l’OMPI et les accords régionaux.
L’atelier a également comporté une simulation de dépôt de brevet et des analyses de cas concrets, renforçant ainsi la dimension pratique de la formation.
En clôture de ces deux jours d’intenses échanges, la création officielle d’une section SIVDC-IPCI a été annoncée, marquant une avancée vers la constitution d’un réseau structuré de chercheurs engagés pour une innovation durable et protégée.
Source: Sercom
La Propriété Intellectuelle, en effet, joue un rôle clé dans le développement scientifique et économique. Brevets, droits d’auteur, marques et savoir-faire représentent des actifs immatériels stratégiques qui permettent d’attirer des investissements, de favoriser l’innovation et d’accroître la compétitivité des institutions. Pourtant, de nombreux chercheurs méconnaissent encore les mécanismes de protection de leurs résultats ou les stratégies de transfert technologique.
« Cet atelier est une première étape. Nous espérons que les chercheurs repartiront avec la détermination de devenir des ambassadeurs de la Propriété Intellectuelle au sein de leurs laboratoires », a déclaré M. Assamoa Patrick, représentant du Directeur Général du FONSTI.
Conscient de cet enjeu, l’atelier a été structuré autour de six modules thématiques, poursuivant trois objectifs principaux :
(i) sensibiliser aux institutions et dispositifs de protection des résultats de recherche (OAPI, API, etc.) ;
(ii) former aux démarches de dépôt, notamment les brevets et les obtentions végétales ;
(iii) analyser les stratégies de transfert des innovations vers le monde industriel.
« Protéger une invention, c’est garantir son exploitation et sa contribution au développement économique », a souligné pour sa part le Dr Koffi Ahua René, Secrétaire Exécutif de la SIVDC.
La première journée a été consacrée aux fondamentaux de la Propriété Intellectuelle, aux procédures de brevetage et aux spécificités des obtentions végétales. Les participants ont échangé sur les erreurs fréquentes lors des dépôts de brevets. La seconde journée a abordé les droits exclusifs, les sanctions liées à la contrefaçon, la gestion des portefeuilles de PI (optimisation du rapport coûts/bénéfices), ainsi que les aspects internationaux tels que les conventions de l’OMPI et les accords régionaux.
L’atelier a également comporté une simulation de dépôt de brevet et des analyses de cas concrets, renforçant ainsi la dimension pratique de la formation.
En clôture de ces deux jours d’intenses échanges, la création officielle d’une section SIVDC-IPCI a été annoncée, marquant une avancée vers la constitution d’un réseau structuré de chercheurs engagés pour une innovation durable et protégée.
Source: Sercom