
Les nations ayant la langue française en partage, sont déterminées à agir en synergie pour un espace économiquement fort. (Ph: Joséphine Kouadio)
Les nations ayant la langue française en partage, sont déterminées à agir en synergie pour un espace économiquement fort. (Ph: Joséphine Kouadio)
Transformation durable des économies : Chefs d’entreprises, décideurs de l’espace francophone en concertation à Abidjan
Le Groupement du patronat francophone (Gpf) organise les 27 et 28 mai 2025, à Abidjan-Plateau, la 6e édition du Forum international des entreprises francophones sur le thème : « Transformation durable des économies francophones dans un monde en pleine mutation ».
Plateforme stratégique d’échange d’opportunités concrètes d’affaires, de financement, de transfert de technologies et de collaboration multilatérale, ce forum regroupe des chefs d’entreprises, des investisseurs et des décideurs.
La ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, a salué la tenue de cette rencontre en terre ivoirienne. « Avec plus d’un milliard d’habitants à l’horizon 2050, l’espace francophone représente un vivier de canons, une force créative, un pôle de solidarité et de croissance économique », dit-elle.
En effet, le Président de la République, Alassane Ouattara, a annoncé en décembre dernier, dit-elle, la création de la cité de l’innovation de la culture, projet structurant visant à fédérer des créateurs, stimuler l’entrepreneuriat culturel et promouvoir des synergies avec le numérique et le tourisme. « Ces initiatives sont autant d’opportunités pour les investisseurs, entrepreneurs, collectivités territoriales et acteurs culturels, contribuant à une croissance inclusive, plus durable parfaitement alignées avec les ambitions du forum », dit Françoise Remarck.
Pour le président du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), Dr Aka Aouélé, nouveau président de l’Union des conseils économiques, sociaux et institutions similaires francophones (Ucesif), ce forum représente une opportunité précieuse pour identifier les obstacles structurels à lever, les outils à mettre en place et les mécanismes institutionnalisés pour atteindre l’objectif stratégique d’une prospérité partagée dans l’espace francophone.
« Notre diversité est un atout. La langue française est un socle commun, mais c’est à travers des coopérations stratégiques, des projets co-construits et une volonté politique partagée que nous pourrons bâtir un espace francophone économiquement influent et solidaire », a conseillé Dr Aka Aouélé. Pour lui, la langue française n’est pas seulement un héritage, elle est aussi un levier de compétitivité, d’influence et de rayonnement économique.
« La francophonie ne peut se contenter de jouer un rôle de promotion culturelle. Elle doit également devenir un espace de croissance partagée. Il est donc impératif que les nations francophones et francophiles, quelle que soit leur taille ou quel que soit leur niveau de développement, puissent tirer bénéfice de la circulation des capitaux, des savoir-faire et des innovations au sein de notre espace linguistique », a-t-il exhorté.
Le premier vice-président, Zoumana Coulibaly, représentant le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-CI), Touré Faman, a exprimé sa gratitude au Gpf pour avoir choisi la Côte d’Ivoire pour ce forum. Pour lui, ce choix est le reflet de la place qu’occupe la Côte d’Ivoire dans le paysage économique régional et international.
« Le thème choisi résonne comme un appel à l’action, celui de bâtir ensemble une francophonie économique audacieuse, interconnectée et tournée vers l’avenir. Il nous invite à repenser nos stratégies collectives, à renforcer la synergie entre acteurs publics et privés, et à promouvoir une croissance inclusive, durable et partagée au sein de l’espace francophone », a déclaré Zoumana Coulibaly.
Selon lui, la Chambre de commerce et d’industrie œuvre depuis plusieurs décennies à l’accompagnement du secteur privé national et à son ouverture sur le monde. « Dans un contexte global de plus en plus complexe marqué par des mutations géopolitiques, technologiques et climatiques, il est donc crucial de bâtir des alliances solides et innovantes », a-t-il souhaité. Soulignant que ce forum est une réponse concrète à ce besoin de coopération renouvelée.
« L’avenir de nos entreprises, de nos jeunesses, nos territoires repose sur la capacité à penser et à agir ensemble. Au-delà des frontières linguistiques et culturelles, la francophonie économique n’est donc pas un rêve, elle est en marche et elle se construit ici et maintenant », a déclaré le représentant de Touré Faman.
La ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, a salué la tenue de cette rencontre en terre ivoirienne. « Avec plus d’un milliard d’habitants à l’horizon 2050, l’espace francophone représente un vivier de canons, une force créative, un pôle de solidarité et de croissance économique », dit-elle.
En effet, le Président de la République, Alassane Ouattara, a annoncé en décembre dernier, dit-elle, la création de la cité de l’innovation de la culture, projet structurant visant à fédérer des créateurs, stimuler l’entrepreneuriat culturel et promouvoir des synergies avec le numérique et le tourisme. « Ces initiatives sont autant d’opportunités pour les investisseurs, entrepreneurs, collectivités territoriales et acteurs culturels, contribuant à une croissance inclusive, plus durable parfaitement alignées avec les ambitions du forum », dit Françoise Remarck.
Pour le président du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), Dr Aka Aouélé, nouveau président de l’Union des conseils économiques, sociaux et institutions similaires francophones (Ucesif), ce forum représente une opportunité précieuse pour identifier les obstacles structurels à lever, les outils à mettre en place et les mécanismes institutionnalisés pour atteindre l’objectif stratégique d’une prospérité partagée dans l’espace francophone.
« Notre diversité est un atout. La langue française est un socle commun, mais c’est à travers des coopérations stratégiques, des projets co-construits et une volonté politique partagée que nous pourrons bâtir un espace francophone économiquement influent et solidaire », a conseillé Dr Aka Aouélé. Pour lui, la langue française n’est pas seulement un héritage, elle est aussi un levier de compétitivité, d’influence et de rayonnement économique.
« La francophonie ne peut se contenter de jouer un rôle de promotion culturelle. Elle doit également devenir un espace de croissance partagée. Il est donc impératif que les nations francophones et francophiles, quelle que soit leur taille ou quel que soit leur niveau de développement, puissent tirer bénéfice de la circulation des capitaux, des savoir-faire et des innovations au sein de notre espace linguistique », a-t-il exhorté.
Le premier vice-président, Zoumana Coulibaly, représentant le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-CI), Touré Faman, a exprimé sa gratitude au Gpf pour avoir choisi la Côte d’Ivoire pour ce forum. Pour lui, ce choix est le reflet de la place qu’occupe la Côte d’Ivoire dans le paysage économique régional et international.
« Le thème choisi résonne comme un appel à l’action, celui de bâtir ensemble une francophonie économique audacieuse, interconnectée et tournée vers l’avenir. Il nous invite à repenser nos stratégies collectives, à renforcer la synergie entre acteurs publics et privés, et à promouvoir une croissance inclusive, durable et partagée au sein de l’espace francophone », a déclaré Zoumana Coulibaly.
Selon lui, la Chambre de commerce et d’industrie œuvre depuis plusieurs décennies à l’accompagnement du secteur privé national et à son ouverture sur le monde. « Dans un contexte global de plus en plus complexe marqué par des mutations géopolitiques, technologiques et climatiques, il est donc crucial de bâtir des alliances solides et innovantes », a-t-il souhaité. Soulignant que ce forum est une réponse concrète à ce besoin de coopération renouvelée.
« L’avenir de nos entreprises, de nos jeunesses, nos territoires repose sur la capacité à penser et à agir ensemble. Au-delà des frontières linguistiques et culturelles, la francophonie économique n’est donc pas un rêve, elle est en marche et elle se construit ici et maintenant », a déclaré le représentant de Touré Faman.