Le voleur de pièces mécaniques
Abobo N’Dotré : Un voleur de vérins rattrapé après une course-poursuite nocturne
Dans la nuit du mardi 27 mai 2025, alors que le quartier Assoko, à Abobo N’Dotré, sommeillait paisiblement, un individu avait d’autres projets. D.A., un homme de 44 ans, célibataire, s’adonnait à une activité bien particulière : le vol de vérins hydrauliques, ces pièces mécaniques imposantes utilisées sur les camions bennes.
Il est environ 3 heures du matin lorsque des agents du 41ᵉ arrondissement de police, en patrouille régulière, surprennent une silhouette suspecte penchée sur un camion DAF stationné dans une ruelle. Le cliquetis des boulons qu’on dévisse confirme rapidement leurs soupçons. Pris en flagrant délit, le voleur tente de fuir, vérin de 25 kilos sous le bras.
S’engage alors une course-poursuite à travers ruelles sombres et terrains vagues. Malgré le poids de sa précieuse cargaison, D.A. s’obstine à ne pas l’abandonner. Mais les forces de l’ordre, plus rapides et mieux organisées, finissent par l’interpeller, essoufflé et toujours agrippé à la pièce volée.
Conduit au poste, D.A. avoue sans détour. Il explique s’être spécialisé depuis quelque temps dans le démontage nocturne de pièces mécaniques, en particulier les vérins, qu’il revend ensuite dans les circuits parallèles. Il était d’ailleurs déjà dans le viseur de la police, son nom ayant été cité dans plusieurs affaires de "vols à la roulette".
Cette fois-ci, sa fameuse "clé magique" n’aura pas suffi à éviter la vigilance des forces de l’ordre. Déféré devant les juridictions compétentes, il devra désormais répondre de ses actes.
Comme le dit si bien la sagesse populaire : « Tout voleur finit par croiser la torche du veilleur ». Pour D.A., la lumière s’est allumée dans la nuit du 27 mai.
S’engage alors une course-poursuite à travers ruelles sombres et terrains vagues. Malgré le poids de sa précieuse cargaison, D.A. s’obstine à ne pas l’abandonner. Mais les forces de l’ordre, plus rapides et mieux organisées, finissent par l’interpeller, essoufflé et toujours agrippé à la pièce volée.
Conduit au poste, D.A. avoue sans détour. Il explique s’être spécialisé depuis quelque temps dans le démontage nocturne de pièces mécaniques, en particulier les vérins, qu’il revend ensuite dans les circuits parallèles. Il était d’ailleurs déjà dans le viseur de la police, son nom ayant été cité dans plusieurs affaires de "vols à la roulette".
Cette fois-ci, sa fameuse "clé magique" n’aura pas suffi à éviter la vigilance des forces de l’ordre. Déféré devant les juridictions compétentes, il devra désormais répondre de ses actes.
Comme le dit si bien la sagesse populaire : « Tout voleur finit par croiser la torche du veilleur ». Pour D.A., la lumière s’est allumée dans la nuit du 27 mai.