Meurtre à Vavoua : Quand l’amour vire au drame
« ...Car l'amour est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le séjour des morts ... » tiré des saintes écritures précisément du livre cantique des cantiques, ce passage rime bien avec la tragique histoire vécue à Vavoua, le dimanche 18 mai 2025.
Les faits.
Maintes fois trompée pas son concubin, la jeune femme que nous nommons Sali, est à bout. Ne supportant plus d’être trahie malgré l’amour qu’elle donne, elle décide de se rendre chez son amoureux après avoir reçu l’information qu’une autre femme s’y trouvait. Furieuse et emportée par la colère, elle se dirige au quartier Boni en larmes. À son arrivée, une rixe éclate entre elle et son homme. Des éclats de voix se font entendre. Les amoureux d’hier sont devenus des ennemis.
Le vacarme s’installe et les objets volent en éclat. L'on a entendu un cri assourdissant, puis un silence. Ce qui intrigue le voisinage, mais personne ne s’imagine l’horreur. L’irréparable vient d’être commis. Le concubin K.H.M., âgé de 26 ans, venait de poignarder sa concubine Sali.
Pris de panique, K.H.M. transporte Sali au centre de santé le plus proche. Une fois sur les lieux, il abandonne la jeune fille agonisante comme s’il était convaincu que s’en était fini pour elle. Il quitta l’hôpital, rapporte Police secours.
Appelée en urgence, la police arrive sur les lieux pour le constat d’usage. Sali est inconsciente et sa respiration devient de plus en plus faible. La jeune fille lutte contre la mort, mais trop tard. Son cœur s’arrête de battre et le corps est enlevée par les pompes funèbres.
Meurtri par la non-assistance du jeune qui l’a amenée, le médecin de garde décrit K.H.M. Aussitôt, une enquête est ouverte. Les agents des forces de l’ordre passent la ville au peigne fin.
Le présumé coupable est retrouvé quelques heures plus tard. Errant dans les rues, il est interpellé et se rend sans difficulté. Désemparé, il avoue tout et n’a qu’un seul mot à la bouche « pardon ».
Maintes fois trompée pas son concubin, la jeune femme que nous nommons Sali, est à bout. Ne supportant plus d’être trahie malgré l’amour qu’elle donne, elle décide de se rendre chez son amoureux après avoir reçu l’information qu’une autre femme s’y trouvait. Furieuse et emportée par la colère, elle se dirige au quartier Boni en larmes. À son arrivée, une rixe éclate entre elle et son homme. Des éclats de voix se font entendre. Les amoureux d’hier sont devenus des ennemis.
Le vacarme s’installe et les objets volent en éclat. L'on a entendu un cri assourdissant, puis un silence. Ce qui intrigue le voisinage, mais personne ne s’imagine l’horreur. L’irréparable vient d’être commis. Le concubin K.H.M., âgé de 26 ans, venait de poignarder sa concubine Sali.
Pris de panique, K.H.M. transporte Sali au centre de santé le plus proche. Une fois sur les lieux, il abandonne la jeune fille agonisante comme s’il était convaincu que s’en était fini pour elle. Il quitta l’hôpital, rapporte Police secours.
Appelée en urgence, la police arrive sur les lieux pour le constat d’usage. Sali est inconsciente et sa respiration devient de plus en plus faible. La jeune fille lutte contre la mort, mais trop tard. Son cœur s’arrête de battre et le corps est enlevée par les pompes funèbres.
Meurtri par la non-assistance du jeune qui l’a amenée, le médecin de garde décrit K.H.M. Aussitôt, une enquête est ouverte. Les agents des forces de l’ordre passent la ville au peigne fin.
Le présumé coupable est retrouvé quelques heures plus tard. Errant dans les rues, il est interpellé et se rend sans difficulté. Désemparé, il avoue tout et n’a qu’un seul mot à la bouche « pardon ».