La ville balnéaire de Jacqueville a abrité l'atelier de l'Oit. (Ph: Dr)
Transition écologique : L’Oit favorise un dialogue social entre le gouvernement, les employeurs et travailleurs
Pour une meilleure intégration de la transition juste dans l'élaboration des Cdn 3.0 de la Côte d’Ivoire et en vue de favoriser le progrès économique et social, l’Oit a organisé un atelier de consultation afin de recueillir les propositions des représentants du gouvernement, des organisations des employeurs et des syndicats des travailleurs. Les différents partis ont salué l'initiative de Jacqueville parce que cela leur permettra de se faire entendre.
Au nom du ministère de l’Emploi et de la Protection sociale, Mamadou Dosso, sous-directeur à la direction générale, a souligné que dire transition juste, c’est dire sauvegarde de l'environnement, c’est l’adoption de nouvelles habitudes en termes d'emploi, de travail. Il s’agira pour sa structure de veiller à ce que de nouveaux emplois soient créés également de pouvoir sauvegarder dans la mesure du possible des emplois qui existent. En outre, faire en sorte que la protection sociale puisse bénéficier à tous les impactés du changement climatique.
Répondant au nom du patronat ivoirien, Charles Beni, membre de la commission Gouvernance éthique et responsabilité sociétale des entreprises (Gerse), a pour sa part souhaité un véritable cadre de suivi-évaluation permanent. Ce, afin que les mesures prises permettent à l'Etat d'aider les employeurs à s'adapter. « Prendre des mesures pour pouvoir aider les entreprises à véritablement mettre au cœur de leurs activités la dimension sociale dans cette transition écologique qui s'impose à tous », a-t-il laissé entendre.
Sekongo Dofra, secrétaire national adjoint de la centrale Dignité, a indiqué que cela permet à sa structure de regarder de près tous les paramètres des décisions publiques prises par les gouvernants et décideurs afin que les décisions prennent en compte le vécu des travailleurs au quotidien. Particulièrement, les préoccupations et propositions des femmes et des jeunes qui tournent autour des questions de travail décent.
Au nom de Ndeye Couba Diop, directrice Bureau de l’Oit pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Togo, N’Goran Koffi Marcos, coordinateur national du projet la dimension sociale de la transition écologique, a rappelé que les échanges porteront sur comment intégrer les notions de transition juste dans l'élaboration des Cdn 3.0 de la Côte d'Ivoire. Qui sont des contributions déterminées au niveau national, qui sont des mesures sectorielles préidentifiées par le gouvernement de Côte d'Ivoire. Il a précisé que ce sont soit des secteurs vulnérables au changement climatique soit des secteurs émetteurs des gaz à effet de serre.
À l’écouter, des mesures présentées aux mandants de l’Oit, aux organismes, aux employeurs et aux travailleurs seront analysées. Les participants à l’atelier verront comment ces mesures politiques, prises face au changement climatique, pourront les impacter négativement. Surtout, qu’est-ce qui peut être fait pour accompagner ces mesures afin que les impacts négatifs ou positifs soient pris en compte pour le bonheur des populations.
Répondant au nom du patronat ivoirien, Charles Beni, membre de la commission Gouvernance éthique et responsabilité sociétale des entreprises (Gerse), a pour sa part souhaité un véritable cadre de suivi-évaluation permanent. Ce, afin que les mesures prises permettent à l'Etat d'aider les employeurs à s'adapter. « Prendre des mesures pour pouvoir aider les entreprises à véritablement mettre au cœur de leurs activités la dimension sociale dans cette transition écologique qui s'impose à tous », a-t-il laissé entendre.
Sekongo Dofra, secrétaire national adjoint de la centrale Dignité, a indiqué que cela permet à sa structure de regarder de près tous les paramètres des décisions publiques prises par les gouvernants et décideurs afin que les décisions prennent en compte le vécu des travailleurs au quotidien. Particulièrement, les préoccupations et propositions des femmes et des jeunes qui tournent autour des questions de travail décent.
Au nom de Ndeye Couba Diop, directrice Bureau de l’Oit pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Togo, N’Goran Koffi Marcos, coordinateur national du projet la dimension sociale de la transition écologique, a rappelé que les échanges porteront sur comment intégrer les notions de transition juste dans l'élaboration des Cdn 3.0 de la Côte d'Ivoire. Qui sont des contributions déterminées au niveau national, qui sont des mesures sectorielles préidentifiées par le gouvernement de Côte d'Ivoire. Il a précisé que ce sont soit des secteurs vulnérables au changement climatique soit des secteurs émetteurs des gaz à effet de serre.
À l’écouter, des mesures présentées aux mandants de l’Oit, aux organismes, aux employeurs et aux travailleurs seront analysées. Les participants à l’atelier verront comment ces mesures politiques, prises face au changement climatique, pourront les impacter négativement. Surtout, qu’est-ce qui peut être fait pour accompagner ces mesures afin que les impacts négatifs ou positifs soient pris en compte pour le bonheur des populations.