
Le préfet de région de l’Iffou, Djiké Raymond Claude, procédant au lancement officiel du CEPE 2025 au groupe scolaire Gravier d’Or de Daoukro, en présence des autorités éducatives et des candidats.
Le préfet de région de l’Iffou, Djiké Raymond Claude, procédant au lancement officiel du CEPE 2025 au groupe scolaire Gravier d’Or de Daoukro, en présence des autorités éducatives et des candidats.
Examen du Cepe 2025 : Le préfet de région de l’Iffou recommande la rigueur et la probité
Le préfet de la région de l’Iffou, préfet du département de Daoukro, Djiké Raymond Claude, a procédé au lancement régional du Certificat d’Etude Primaire et Elémentaire (Cepe) version 2025, au groupe scolaire Gravier d’or de Daoukro. Ce sont 8281 candidats dans la région dont 92 libres, repartis dans les 318 centres d’examens, qui ont donc composé les épreuves. Après avoir échangé avec les surveillants, examinateurs et élèves, pour s’assurer que tout un chacun est dans de bonnes dispositions, le préfet Djiké Raymond, a recommandé la rigueur et la probité. « Cet examen est la première étape pour les enfants d’avoir un parchemin qui, leur permettra d’accéder au premier cycle » a-t-il soutenu. Et d’ajouter que : « Il faut que cet examen se déroule dans la rigueur. Les résultats doivent refléter l’excellence car il y va du rayonnement de la Côte d’Ivoire et de la région ». Il a dit que c’est avec un cœur léger, qu’il a procédé au lancement des épreuves, grâce à la fin de la grève dans le secteur Education-Formation, qui s’est soldée par la voix de la négociation. Il n’a pas manqué de conseiller aux élèves, de respecter ce que les examinateurs leur diront. Quant au directeur régional de l’éducation national et de l’alphabétisation (Drena) Atté Tany Noël, il rassurera sur les disposition prises : « Les dispositions en matière de sécurité, pour le bon déroulement de cet examen, sont les mêmes. L’innovation est que nous apportons un superviseur par centre, en plus des 5 superviseurs de la Drena.. C’est l’élève Amankwah Aman Sawaa Bénédicte, 11 ans de l’école primaire publique (Epp) Gagou 4, qui a vérifié que les sujets étaient bien protégés.