Anare-CI
Électricité : 15 cadres des autorités de régulation et sociétés d’exploitation énergétique renforcent leurs capacités à Abidjan
La 4ᵉ édition de la formation qualifiante sur l’analyse des contrats d’achat d’énergie s’est tenue le lundi 12 mai 2025, à Abidjan-Marcory.
Dans un contexte marqué par d’importantes mutations liées à la transition énergétique, à l’émergence des énergies renouvelables et à la libéralisation progressive des marchés, les contrats d’énergie prennent une dimension stratégique. Ils constituent le socle juridique et commercial des relations entre producteurs, transporteurs, distributeurs et consommateurs d’énergie.
C’est dans cette dynamique que l’Autorité nationale de régulation du secteur de l’électricité de Côte d’Ivoire (ANARE-CI), en partenariat avec l’École des Mines de Paris (France), Kwaliance, Deloitte et AFRIR, a organisé cette session de formation placée sous le thème : « Maîtriser les dimensions clés ».
À l’ouverture des travaux, Flavien Tchapga, coordonnateur du programme de formation, a présenté les principaux axes du contenu pédagogique destiné à une quinzaine d’auditeurs venus d’Algérie, du Cameroun, de la République démocratique du Congo (RDC), de Madagascar et de Côte d’Ivoire. Il s’agit notamment de l’analyse juridique, technique, économique et financière des contrats énergétiques, tels que les contrats d’achat d’électricité, de fourniture, de concession ou de partenariat public-privé.
« Au cours des travaux, il sera question de partage d’expériences, d’étude de cas concrets, d’échanges entre experts et praticiens, avec pour ambition commune d’améliorer la qualité des contrats et de mieux protéger les intérêts publics, tout en assurant la viabilité des investissements privés », a-t-il indiqué.
Représentant le directeur général de l’ANARE-CI, Amidou Traoré, son conseiller spécial, Henri Pépin Krou, a exprimé l’espoir que les cadres des organes de régulation seront désormais mieux préparés à faire face aux défis liés à l’évolution des métiers de la régulation. Il les a encouragés à s’impliquer pleinement dans la formation. « Je vous invite à prendre une part active aux échanges, à poser toutes vos questions, à partager vos expériences et à tirer le meilleur parti de l’expertise des intervenants que nous avons soigneusement sélectionnés », a-t-il lancé aux participants.
Il convient de souligner que cette formation de haut niveau répond aux besoins exprimés par les autorités de régulation et les sociétés d’exploitation de l’électricité d’Afrique subsaharienne et de Madagascar.
À travers cette initiative, les institutions du secteur énergétique visent à renforcer qualitativement les compétences de leurs personnels, en leur offrant une meilleure compréhension et une maîtrise approfondie des mécanismes contractuels qui régissent l’industrie énergétique.
C’est dans cette dynamique que l’Autorité nationale de régulation du secteur de l’électricité de Côte d’Ivoire (ANARE-CI), en partenariat avec l’École des Mines de Paris (France), Kwaliance, Deloitte et AFRIR, a organisé cette session de formation placée sous le thème : « Maîtriser les dimensions clés ».
À l’ouverture des travaux, Flavien Tchapga, coordonnateur du programme de formation, a présenté les principaux axes du contenu pédagogique destiné à une quinzaine d’auditeurs venus d’Algérie, du Cameroun, de la République démocratique du Congo (RDC), de Madagascar et de Côte d’Ivoire. Il s’agit notamment de l’analyse juridique, technique, économique et financière des contrats énergétiques, tels que les contrats d’achat d’électricité, de fourniture, de concession ou de partenariat public-privé.
« Au cours des travaux, il sera question de partage d’expériences, d’étude de cas concrets, d’échanges entre experts et praticiens, avec pour ambition commune d’améliorer la qualité des contrats et de mieux protéger les intérêts publics, tout en assurant la viabilité des investissements privés », a-t-il indiqué.
Représentant le directeur général de l’ANARE-CI, Amidou Traoré, son conseiller spécial, Henri Pépin Krou, a exprimé l’espoir que les cadres des organes de régulation seront désormais mieux préparés à faire face aux défis liés à l’évolution des métiers de la régulation. Il les a encouragés à s’impliquer pleinement dans la formation. « Je vous invite à prendre une part active aux échanges, à poser toutes vos questions, à partager vos expériences et à tirer le meilleur parti de l’expertise des intervenants que nous avons soigneusement sélectionnés », a-t-il lancé aux participants.
Il convient de souligner que cette formation de haut niveau répond aux besoins exprimés par les autorités de régulation et les sociétés d’exploitation de l’électricité d’Afrique subsaharienne et de Madagascar.
À travers cette initiative, les institutions du secteur énergétique visent à renforcer qualitativement les compétences de leurs personnels, en leur offrant une meilleure compréhension et une maîtrise approfondie des mécanismes contractuels qui régissent l’industrie énergétique.