
Le président de l'Apett-CI (à gauche) remet le document au président de la faitière (DR)
Le président de l'Apett-CI (à gauche) remet le document au président de la faitière (DR)
Transport routier : L’Apett-ci expose ses difficultés liées à l’application du point 3 de l’annexe fiscale 2025 à sa faitière
L’Association patronale des entreprises de transport terrestre de Côte d’Ivoire (Apett-ci) a rencontré les dirigeants du Haut conseil le mardi 13 mai 2025, à Treichville.
Les chefs entreprises de transport de cette association sont allés pour exposer les difficultés auxquelles ils font face depuis l’application par le gouvernement du point 3 de l’annexe fiscale 2025. Qui indique que toute entreprise de transport public dont le chiffre d'affaires dépasse 200 millions de FCfa est désormais assujetties à la Tva de 18% et doit collecter la Tva perçue sur les usagers pour le compte de l’Etat.
Pour eux, l’application de ce texte va les contraindre à augmenter le tarif de transport. Ce qui pourrait ne pas avoir l’assentiment des usagers, car ces derniers sans le savoir penseraient que cette augmentation est faite par les transporteurs. Après donc plusieurs négociations, échanges et plaidoiries avec le gouvernement via le ministère des Transports lui demandant de prendre le devant pour ensemble expliquer la raison de cette augmentation par des campagnes de sensibilisation, ils affirment ne plus avoir de solutions face à cette situation. A cet effet, ils demandent à leur faitière de son côté de mener des démarches afin de trouver des solutions qui arrangeraient les deux parties afin de ne pas arriver à un arrêt de travail.
Dembélé Ibrahima, président de l’Apett-ci a expliqué que depuis la période de Covid-19 en 2020, les entreprises du transport routier ont traversé et continuent de traverser des difficultés sans précédent, après plusieurs pertes enregistrées. En outre, du fait de la crise russo-ukrainienne, le président du collectif a dit que les coûts des intrants du secteur du transport ont flambé, impactant négativement le chiffre d’affaires des entreprises.
A cela, a-t-il relevé, il faut ajouter la hausse du prix du carburant, depuis 2022. « Avec toutes ces difficultés, l’application de la mesure portant Tva à notre domaine d’activité est insupportable. Nous appelons les autorités compétentes à revoir cette décision », a-t-il plaidé.
Face aux problèmes soulevés, le directeur général du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier, en abrégé Haut conseil, Diaby Ibrahim, a rassuré les plaignants. « Nous allons saisir les autorités compétentes afin qu’une issue heureuse soit trouvée à cette difficulté », a-t-il promis. Tout en saluant la démarche responsable effectuée par les patrons, il leur a demandé d’éviter toute grève. « Nous sommes résolus à dialoguer et nous trouverons à coup sûr des solutions aux problèmes sans aller à un arrêt de travail », a-t-il suggéré.
Pour eux, l’application de ce texte va les contraindre à augmenter le tarif de transport. Ce qui pourrait ne pas avoir l’assentiment des usagers, car ces derniers sans le savoir penseraient que cette augmentation est faite par les transporteurs. Après donc plusieurs négociations, échanges et plaidoiries avec le gouvernement via le ministère des Transports lui demandant de prendre le devant pour ensemble expliquer la raison de cette augmentation par des campagnes de sensibilisation, ils affirment ne plus avoir de solutions face à cette situation. A cet effet, ils demandent à leur faitière de son côté de mener des démarches afin de trouver des solutions qui arrangeraient les deux parties afin de ne pas arriver à un arrêt de travail.
Dembélé Ibrahima, président de l’Apett-ci a expliqué que depuis la période de Covid-19 en 2020, les entreprises du transport routier ont traversé et continuent de traverser des difficultés sans précédent, après plusieurs pertes enregistrées. En outre, du fait de la crise russo-ukrainienne, le président du collectif a dit que les coûts des intrants du secteur du transport ont flambé, impactant négativement le chiffre d’affaires des entreprises.
A cela, a-t-il relevé, il faut ajouter la hausse du prix du carburant, depuis 2022. « Avec toutes ces difficultés, l’application de la mesure portant Tva à notre domaine d’activité est insupportable. Nous appelons les autorités compétentes à revoir cette décision », a-t-il plaidé.
Face aux problèmes soulevés, le directeur général du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier, en abrégé Haut conseil, Diaby Ibrahim, a rassuré les plaignants. « Nous allons saisir les autorités compétentes afin qu’une issue heureuse soit trouvée à cette difficulté », a-t-il promis. Tout en saluant la démarche responsable effectuée par les patrons, il leur a demandé d’éviter toute grève. « Nous sommes résolus à dialoguer et nous trouverons à coup sûr des solutions aux problèmes sans aller à un arrêt de travail », a-t-il suggéré.