L’IPCI mise sur la jeunesse pour démocratiser le séquençage génétique
De l’ADN à la Data : L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire forme les chercheurs du futur
L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) a lancé, du 12 au 23 mai 2025, la toute première session de sa formation régionale sur le séquençage de nouvelle génération (NGS), baptisée « De l’échantillon à la séquence ». Cette initiative, portée par le laboratoire de génomique et métagénomique microbienne en collaboration avec le département de formation, marque une étape majeure dans la vulgarisation des technologies de pointe en biologie moléculaire sur le continent.
L’objectif affiché est clair : rendre accessible le NGS et initier les chercheurs à l’analyse des vastes volumes de données générés par cette technologie révolutionnaire. Une ambition pleinement assumée par le Professeur Gbonon Valérie, responsable de la plateforme de génétique moléculaire (PFGM), pour qui cette formation est le socle d’un futur réseau de scientifiques capables de faire avancer la recherche génétique en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.
« Ce cours marque le début d'une série d'initiatives visant à encourager la recherche et l'innovation scientifique », a-t-elle déclaré, rendant hommage au Professeur Dosso Mireille, figure fondatrice de la plateforme.
Le Directeur de l’IPCI, le Professeur Meité Syndou, a souligné quant à lui l’impératif pour les jeunes chercheurs de maîtriser les outils de séquençage afin de positionner durablement l’Institut comme un leader régional. Il n’a pas manqué de saluer le professionnalisme du Pr Gbonon, l’engagement du Pr M’boh, chef du département de formation, ainsi que l’implication du Pr Touré Offianan André, Directeur scientifique de l’IPCI, dont les travaux sur le paludisme contribuent fortement à la reconnaissance de l’établissement. Il a d’ailleurs annoncé la construction prochaine d’un bâtiment dédié à la bioinformatique, pour soutenir l’innovation.
Parmi les participants, le Dr Sorgo Pegdwende Abel, chercheur au Centre de Recherche Biomoléculaire Pietro Annigoni (CERBA) de l’Université Joseph Ki-Zerbo, s’est réjoui de la qualité de l’enseignement dès le premier jour. Spécialiste en biologie moléculaire, il aspire à approfondir ses compétences en bioinformatique, notamment sur les plateformes Illumina et Nanopore. Il a encouragé ses pairs à s’approprier ces savoirs, à bâtir des réseaux de collaboration et à capitaliser sur le partage d’expériences.
Sur une durée de dix jours, cette formation intensive réunit une dizaine de participants venus d’institutions nationales et sous-régionales, incluant chercheurs, doctorants, vétérinaires et agronomes. L’ensemble s’inscrit dans une approche "One Health", soulignant les synergies nécessaires entre la santé humaine, animale et environnementale.
« Ce cours marque le début d'une série d'initiatives visant à encourager la recherche et l'innovation scientifique », a-t-elle déclaré, rendant hommage au Professeur Dosso Mireille, figure fondatrice de la plateforme.
Le Directeur de l’IPCI, le Professeur Meité Syndou, a souligné quant à lui l’impératif pour les jeunes chercheurs de maîtriser les outils de séquençage afin de positionner durablement l’Institut comme un leader régional. Il n’a pas manqué de saluer le professionnalisme du Pr Gbonon, l’engagement du Pr M’boh, chef du département de formation, ainsi que l’implication du Pr Touré Offianan André, Directeur scientifique de l’IPCI, dont les travaux sur le paludisme contribuent fortement à la reconnaissance de l’établissement. Il a d’ailleurs annoncé la construction prochaine d’un bâtiment dédié à la bioinformatique, pour soutenir l’innovation.
Parmi les participants, le Dr Sorgo Pegdwende Abel, chercheur au Centre de Recherche Biomoléculaire Pietro Annigoni (CERBA) de l’Université Joseph Ki-Zerbo, s’est réjoui de la qualité de l’enseignement dès le premier jour. Spécialiste en biologie moléculaire, il aspire à approfondir ses compétences en bioinformatique, notamment sur les plateformes Illumina et Nanopore. Il a encouragé ses pairs à s’approprier ces savoirs, à bâtir des réseaux de collaboration et à capitaliser sur le partage d’expériences.
Sur une durée de dix jours, cette formation intensive réunit une dizaine de participants venus d’institutions nationales et sous-régionales, incluant chercheurs, doctorants, vétérinaires et agronomes. L’ensemble s’inscrit dans une approche "One Health", soulignant les synergies nécessaires entre la santé humaine, animale et environnementale.