Réseautage des Nations unies : La ministre Nialé Kaba expose sa recette
Un cocktail de réseautage a été organisé dans la nuit du dimanche 11 mai 2025 au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Au cours de l’évènement, Hélène N'Garnim-Ganga, la Coordonnatrice résidente et les chefs d’Agences du Système des nations unies en Côte d’Ivoire, a annoncé que la présence d’institutions publiques, dirigeants d’entreprises, représentants du Système des nations unies, témoigne de l’intérêt croissant que suscitent les enjeux de durabilité, de responsabilité sociétale des entreprises et de transformation inclusive en Côte d’Ivoire.
Pour la ministre de l'Economie, du Plan et du Développement, Nialé Kaba, la durabilité d’entreprise revêt une importance particulière pour l’Afrique, un continent à très fort potentiel de croissance et de transformation. Avec la création récente de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), les opportunités manufacturières représentent à elles seules plus de 1000 milliards de dollars en 2025 et les dépenses de consommation de l’Afrique atteindront 6,7 milliards de dollars d’ici à 2030, selon les estimations de la Banque africaine de développement (Bad).
D’autres domaines recèlent un énorme potentiel, notamment les énergies renouvelables, les industries extractives, les technologies financières, l’économie numérique, les soins de santé, le tourisme, les marchés de l’immobilier et de l’automobile.
Toutefois, dit-elle, des défis majeurs sont à relever. Il s’agit, notamment du développement d’un secteur privé africain fort, moteur d’une croissance économique durable et inclusive ; de l’accélération du commerce intra-africain ; du renforcement de la position commerciale du continent sur le marché mondial afin d’atteindre un volume des échanges inter-africains de 60% d’ici à 2034.
Pour elle, le pacte mondial est un appel aux entreprises du monde entier pour aider à instaurer un cadre social et environnemental permettant d’assurer le maintien de marchés libres et ouverts, tout en s’assurant que chacun ait, partout dans le monde, l’occasion de partager les avantages de la nouvelle économie mondiale.
Même son de cloche pour la Coordonnatrice résidente des nations unies : « Nous sommes aujourd’hui à mi-chemin de l’Agenda 2030. En Côte d’Ivoire, les progrès sont notables. Une croissance soutenue, des infrastructures en développement, une stabilité renforcée – mais les défis persistent : inclusion sociale, emploi des jeunes, résilience face aux changements climatiques. Dans ce contexte, le rôle du secteur privé est déterminant. Nous avons besoin de plus d’innovation, plus de responsabilité, plus d’impact. Chaque objectif de développement durable est une opportunité d’affaires. Le nouveau paradigme du développement durable repose sur l’idée que la croissance économique peut être compatible avec l’impact social et environnemental positif : Zéro pauvreté, c’est élargir les marchés ; Égalité femmes-hommes, c’est améliorer la productivité ; Climat, c’est anticiper et innover », a-t-elle fait remarquer.
Pour elle, intégrer la durabilité dans sa stratégie d’entreprise n’est plus une option morale, c’est un choix économique rationnel. Elle a invité toutes les entreprises en Côte d’Ivoire à se positionner comme leaders de la transformation durable, à innover et à contribuer activement à la construction d’une économie plus inclusive, plus verte et plus résiliente.
La directrice exécutive du pacte mondial des Nations unies indique qu'il se présente comme un interlocuteur de référence pour toutes les entreprises qui souhaitent structurer ou renforcer leur engagement en faveur de la durabilité.
En adhérant au pacte mondial, les entreprises ivoiriennes rejoignent une communauté internationale forte de plus de 25 000 entreprises dans 167 pays, toutes unies autour de 10 principes universels liés aux droits humains, aux normes du travail, à l’environnement et à la lutte contre la corruption.
D’autres domaines recèlent un énorme potentiel, notamment les énergies renouvelables, les industries extractives, les technologies financières, l’économie numérique, les soins de santé, le tourisme, les marchés de l’immobilier et de l’automobile.
Toutefois, dit-elle, des défis majeurs sont à relever. Il s’agit, notamment du développement d’un secteur privé africain fort, moteur d’une croissance économique durable et inclusive ; de l’accélération du commerce intra-africain ; du renforcement de la position commerciale du continent sur le marché mondial afin d’atteindre un volume des échanges inter-africains de 60% d’ici à 2034.
Pour elle, le pacte mondial est un appel aux entreprises du monde entier pour aider à instaurer un cadre social et environnemental permettant d’assurer le maintien de marchés libres et ouverts, tout en s’assurant que chacun ait, partout dans le monde, l’occasion de partager les avantages de la nouvelle économie mondiale.
Même son de cloche pour la Coordonnatrice résidente des nations unies : « Nous sommes aujourd’hui à mi-chemin de l’Agenda 2030. En Côte d’Ivoire, les progrès sont notables. Une croissance soutenue, des infrastructures en développement, une stabilité renforcée – mais les défis persistent : inclusion sociale, emploi des jeunes, résilience face aux changements climatiques. Dans ce contexte, le rôle du secteur privé est déterminant. Nous avons besoin de plus d’innovation, plus de responsabilité, plus d’impact. Chaque objectif de développement durable est une opportunité d’affaires. Le nouveau paradigme du développement durable repose sur l’idée que la croissance économique peut être compatible avec l’impact social et environnemental positif : Zéro pauvreté, c’est élargir les marchés ; Égalité femmes-hommes, c’est améliorer la productivité ; Climat, c’est anticiper et innover », a-t-elle fait remarquer.
Pour elle, intégrer la durabilité dans sa stratégie d’entreprise n’est plus une option morale, c’est un choix économique rationnel. Elle a invité toutes les entreprises en Côte d’Ivoire à se positionner comme leaders de la transformation durable, à innover et à contribuer activement à la construction d’une économie plus inclusive, plus verte et plus résiliente.
La directrice exécutive du pacte mondial des Nations unies indique qu'il se présente comme un interlocuteur de référence pour toutes les entreprises qui souhaitent structurer ou renforcer leur engagement en faveur de la durabilité.
En adhérant au pacte mondial, les entreprises ivoiriennes rejoignent une communauté internationale forte de plus de 25 000 entreprises dans 167 pays, toutes unies autour de 10 principes universels liés aux droits humains, aux normes du travail, à l’environnement et à la lutte contre la corruption.