
Depuis quelques semaines des opérations de ventes groupées de noix de cajou sont organisées à travers tout le pays. (Ph: Dr)
Depuis quelques semaines des opérations de ventes groupées de noix de cajou sont organisées à travers tout le pays. (Ph: Dr)
Booko : Une vente groupée de noix de cajou organisée par le Conseil du coton et de l’anacarde
Le Conseil du coton et de l'anacarde est à l'œuvre pour l'enlèvement de toutes les productions de noix de cajou non encore achetées.
Après Borotou la semaine dernière, la ville de Booko dans le département de Koro a abrité le jeudi 8 mai 2025, une importante opération de vente groupée de noix de cajou.
Cette activité, qui s'est tenue en présence du sous-préfet Yé Seomblé Mesmin, de Tuo Félix, gérant d'une société coopérative et des acteurs de la filière coton-anacarde, s’inscrit dans une stratégie de valorisation de la production locale et de protection du revenu des producteurs.
À l’occasion, le délégué régional du Conseil du coton et de l’anacarde, Konaté Issouf, a indiqué que l’initiative a pour objectif « de garantir aux producteurs l’écoulement de leur récolte au prix plancher fixé par l’État, soit 425 FCfa le kilogramme ».
Il a saisi cette tribune pour sensibiliser les producteurs aux bonnes pratiques post-récoltes, notamment le séchage adéquat, le tri minutieux des noix, l’usage de sacs en jute, ainsi que la séparation de la pompe à l’aide d’une corde et le séchage sur des claies, afin de préserver la qualité du produit.
Il a également fait des recommandations aux producteurs pour qu’ils évitent de brader leurs récoltes et à les protéger contre les spéculations soutenues par certains acheteurs véreux. Non sans les rassurer que tous les produits seront achetés et cela au prix fixé par le gouvernement.
Les producteurs heureux de la tenue de cette opération ont, par la voix de Koné Moussa, exprimé leur gratitude au gouvernement et au Conseil du coton et de l’anarcade.
Notons que les villes de Touba et Ouaninou ont déjà bénéficié des ventes groupées à la grande joie des producteurs de ces localités.
Les producteurs de la Marahoué précisément de la sous-préfecture de Kanzra attendent avec impatience cette opération. Lors de notre passage fin avril dans le village de Zorofla, la noix de cajou était vendue à 200 FCfa le kilogramme loin du prix fixé par le gouvernement.
À l’occasion, le délégué régional du Conseil du coton et de l’anacarde, Konaté Issouf, a indiqué que l’initiative a pour objectif « de garantir aux producteurs l’écoulement de leur récolte au prix plancher fixé par l’État, soit 425 FCfa le kilogramme ».
Il a saisi cette tribune pour sensibiliser les producteurs aux bonnes pratiques post-récoltes, notamment le séchage adéquat, le tri minutieux des noix, l’usage de sacs en jute, ainsi que la séparation de la pompe à l’aide d’une corde et le séchage sur des claies, afin de préserver la qualité du produit.
Il a également fait des recommandations aux producteurs pour qu’ils évitent de brader leurs récoltes et à les protéger contre les spéculations soutenues par certains acheteurs véreux. Non sans les rassurer que tous les produits seront achetés et cela au prix fixé par le gouvernement.
Les producteurs heureux de la tenue de cette opération ont, par la voix de Koné Moussa, exprimé leur gratitude au gouvernement et au Conseil du coton et de l’anarcade.
Notons que les villes de Touba et Ouaninou ont déjà bénéficié des ventes groupées à la grande joie des producteurs de ces localités.
Les producteurs de la Marahoué précisément de la sous-préfecture de Kanzra attendent avec impatience cette opération. Lors de notre passage fin avril dans le village de Zorofla, la noix de cajou était vendue à 200 FCfa le kilogramme loin du prix fixé par le gouvernement.