Photo d'illustration (Dr0
Circulation des motos et tricycles : Le blvd Houphouët-Boigny (ex-VGE) désormais interdit aux deux et trois roues à partir du 15 mai
Le Ministère des Transports vient de rendre public, ce mardi 6 mai 2025, un nouveau plan de circulation visant à renforcer la sécurité routière sur le boulevard Félix Houphouët Boigny, communément appelé ex-VGE. À compter du 15 mai 2025, les motos, tricycles et vélos seront formellement interdits d’emprunter les voies centrales de cet important axe routier, dans la section comprise entre le carrefour Aboussouan à Treichville et le carrefour ancien Koumassi.
Cette décision, annoncée par la Direction Générale des Transports Terrestres et de la Circulation (DGTTc), s’inscrit dans une démarche de lutte contre l’incivisme sur la route et vise à fluidifier le trafic dans une zone régulièrement sujette à des embouteillages et à des accidents impliquant des engins à deux et trois roues.
Toutefois, le ministère précise que les traversées aux différents carrefours du boulevard et l’usage des bretelles restent provisoirement autorisés, le temps d’une transition progressive vers une interdiction plus stricte.
Le Ministère des Transports appelle donc tous les usagers concernés à respecter rigoureusement ces nouvelles règles, sous peine de voir leur engin confisqué de manière administrative en cas d’infraction.
Cette mesure, qui pourrait sembler contraignante à court terme, s’inscrit dans une volonté globale d’améliorer la sécurité routière et d’instaurer une meilleure cohabitation entre les différents types d’usagers sur les grandes artères de la capitale économique.
Toutefois, le ministère précise que les traversées aux différents carrefours du boulevard et l’usage des bretelles restent provisoirement autorisés, le temps d’une transition progressive vers une interdiction plus stricte.
Le Ministère des Transports appelle donc tous les usagers concernés à respecter rigoureusement ces nouvelles règles, sous peine de voir leur engin confisqué de manière administrative en cas d’infraction.
Cette mesure, qui pourrait sembler contraignante à court terme, s’inscrit dans une volonté globale d’améliorer la sécurité routière et d’instaurer une meilleure cohabitation entre les différents types d’usagers sur les grandes artères de la capitale économique.