Tuo Fozié, préfet de la région de Gbêkê et du département de Bouaké
Fête du Travail/Relance du tissu industriel : Les travailleurs de la région de Gbêkê relancent l’idée d’un plan Marshall
Les travailleurs du secteur public, tout comme ceux du privé, ont parcouru les rues de Bouaké depuis le siège de l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI) jusqu’à la préfecture, où ils ont célébré ensemble la Fête du Travail, ce 1er mai 2025, à travers leurs différentes centrales syndicales.
Ils ont été accueillis dans une ambiance festive sur l’esplanade de la préfecture par Tuo Fozié, préfet de la région de Gbêkê et du département de Bouaké, accompagné des directeurs régionaux et des chefs de service.
Dans son adresse aux travailleurs, le préfet Tuo Fozié a tenu à les rassurer en ces termes : « Je transmettrai à qui de droit vos messages ». Représentant du Président de la République dans la région, il a assuré avoir saisi l’essentiel de leurs revendications, à savoir l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. « Je tiens à vous remercier pour votre contribution au développement, non seulement de la région de Gbêkê, mais aussi et surtout de la Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré.
Profitant de cette occasion de rassemblement, le préfet a invité les travailleurs et l’ensemble des populations à préserver la paix à l’approche de l’élection présidentielle de 2025. « J’en appelle à votre sens du civisme et de la citoyenneté. Nous devons œuvrer à maintenir la paix, la cohésion sociale et la fraternité », a-t-il exhorté.
Plusieurs centrales syndicales ont pris part à cette célébration, notamment l’UGTCI, Dignité, Humanisme, l’Union de la plateforme des fonctionnaires, l’Union nationale des travailleurs de Côte d’Ivoire, pour ne citer que celles-là.
Cependant, c’est l’intervention de Germain N’Guessan Kouassi, secrétaire général de l’UGTCI, qui a particulièrement retenu l’attention. La doyenne des centrales syndicales a une nouvelle fois plaidé pour la mise en place d’un plan Marshall destiné à relancer les activités industrielles à Bouaké et dans l’ensemble de la région de Gbêkê. « Bouaké a souffert des conséquences de la crise, qui ont entraîné la fermeture de nombreuses entreprises », a-t-il déploré. Il a donc sollicité l’implication personnelle du Président de la République afin qu’une attention particulière soit accordée à la situation économique de Bouaké.
Dans son adresse aux travailleurs, le préfet Tuo Fozié a tenu à les rassurer en ces termes : « Je transmettrai à qui de droit vos messages ». Représentant du Président de la République dans la région, il a assuré avoir saisi l’essentiel de leurs revendications, à savoir l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. « Je tiens à vous remercier pour votre contribution au développement, non seulement de la région de Gbêkê, mais aussi et surtout de la Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré.
Profitant de cette occasion de rassemblement, le préfet a invité les travailleurs et l’ensemble des populations à préserver la paix à l’approche de l’élection présidentielle de 2025. « J’en appelle à votre sens du civisme et de la citoyenneté. Nous devons œuvrer à maintenir la paix, la cohésion sociale et la fraternité », a-t-il exhorté.
Plusieurs centrales syndicales ont pris part à cette célébration, notamment l’UGTCI, Dignité, Humanisme, l’Union de la plateforme des fonctionnaires, l’Union nationale des travailleurs de Côte d’Ivoire, pour ne citer que celles-là.
Cependant, c’est l’intervention de Germain N’Guessan Kouassi, secrétaire général de l’UGTCI, qui a particulièrement retenu l’attention. La doyenne des centrales syndicales a une nouvelle fois plaidé pour la mise en place d’un plan Marshall destiné à relancer les activités industrielles à Bouaké et dans l’ensemble de la région de Gbêkê. « Bouaké a souffert des conséquences de la crise, qui ont entraîné la fermeture de nombreuses entreprises », a-t-il déploré. Il a donc sollicité l’implication personnelle du Président de la République afin qu’une attention particulière soit accordée à la situation économique de Bouaké.