Marcel Wadja, président de la Fédération de Floorball. (Ph: Dr)
Marcel Wadja (président de la Fédération de Floorball): "L'objectif, faire de la Côte d'Ivoire un acteur du développement de la discipline en Afrique"
Dans cet entretien, le premier responsable du Floorball, lève un coin de voile sur ses réalisations, de ses ambitions et les difficultés que rencontre ce sport dont la fédération existe depuis le 19 septembre 2015.
Le Floorball est encore peu connu dans notre pays. Pouvez-vous nous expliquer comment se pratique ce sport ?
Le Floorball, aussi appelé unihockey en Suisse, est un sport collectif où deux équipes de cinq joueurs et un gardien s'affrontent en trois tiers-temps de vingt minutes. L'objectif est de mettre la balle dans le but (1 point) adverse à l'aide d'une crosse.
Comment se porte la discipline dans notre pays ?
Grâce au soutien des associations qui composent la fédération et à l'engagement des acteurs locaux, le Floorball gagne en visibilité, notamment auprès des jeunes. L'objectif est de faire de la Côte d'Ivoire un acteur actif dans le développement de ce sport en Afrique. En Côte d'Ivoire, la discipline se porte bien et est en progression.
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez ?
Tout d’abord, la quasi-méconnaissance de ce sport constitue un frein majeur pour sa promotion. Ensuite, il y a la question des infrastructures et du matériel. D’autant plus que le Floorball nécessite des salles adaptées et un équipement spécifique (crosses, balles, buts), qui restent encore peu accessibles dans le pays. Trouver des ressources pour importer ou fabriquer localement du matériel est un enjeu clé pour son développement. Enfin, il faut structurer la discipline, par la création des clubs, la formation des entraîneurs et des arbitres. Cela demande du soutien.
Quels sont vos objectifs à court et moyen terme ?
Pour cette année, il s’agira premièrement pour nous de faire connaître le Floorball en organisant des campagnes de sensibilisation, des sessions d’initiation dans les écoles et les activités sociales. Ainsi que des démonstrations publiques, pour attirer de nouveaux pratiquants. Deuxièmement, structurer les clubs. Troisièmement, former des entraîneurs et des arbitres. Quatrièmement, organiser des compétitions locales. Cela passe par l’organisation des tournois nationaux pour dynamiser la pratique du Floorball et préparer les joueurs à des rencontres de haut niveau. Et enfin, assurer la pérennité financière du sport.
JAURÈS DROHGBA (Stagiaire)
Comment se porte la discipline dans notre pays ?
Grâce au soutien des associations qui composent la fédération et à l'engagement des acteurs locaux, le Floorball gagne en visibilité, notamment auprès des jeunes. L'objectif est de faire de la Côte d'Ivoire un acteur actif dans le développement de ce sport en Afrique. En Côte d'Ivoire, la discipline se porte bien et est en progression.
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez ?
Tout d’abord, la quasi-méconnaissance de ce sport constitue un frein majeur pour sa promotion. Ensuite, il y a la question des infrastructures et du matériel. D’autant plus que le Floorball nécessite des salles adaptées et un équipement spécifique (crosses, balles, buts), qui restent encore peu accessibles dans le pays. Trouver des ressources pour importer ou fabriquer localement du matériel est un enjeu clé pour son développement. Enfin, il faut structurer la discipline, par la création des clubs, la formation des entraîneurs et des arbitres. Cela demande du soutien.
Quels sont vos objectifs à court et moyen terme ?
Pour cette année, il s’agira premièrement pour nous de faire connaître le Floorball en organisant des campagnes de sensibilisation, des sessions d’initiation dans les écoles et les activités sociales. Ainsi que des démonstrations publiques, pour attirer de nouveaux pratiquants. Deuxièmement, structurer les clubs. Troisièmement, former des entraîneurs et des arbitres. Quatrièmement, organiser des compétitions locales. Cela passe par l’organisation des tournois nationaux pour dynamiser la pratique du Floorball et préparer les joueurs à des rencontres de haut niveau. Et enfin, assurer la pérennité financière du sport.
JAURÈS DROHGBA (Stagiaire)