Les étudiantes se sont essayés avec plaisir au doublage de voix.
Cinéma : Cinékita initie des étudiantes au métier de la post-production
Madéka Kouadio-Timerman, officier dans l’Ordre du mérite national, artiste chanteuse et fondatrice de Cinékita, une société spécialisée dans la production et la post-production audiovisuelle, a ouvert ses portes à des étudiantes. Issues de l’Institut supérieur polytechnique d’Afrique (Ispa), les visiteuses ont pu découvrir les métiers de sous-titrage de film, de documentaire et de doublage.
Le dernier cité est une branche de l’audiovisuel qui consiste à remplacer la langue originale d’un film ou d’une série notamment, par celle parlée dans les régions géographiques où l’œuvre est diffusée.
La visite, qui a eu lieu, le 7 mars, au siège de Cinékita, à Cocody, a débuté dans la salle de traduction et d’adaptation. Il s’agit du premier maillon de la post-production où sont traduits les dialogues, les émotions et les intentions des acteurs. C’est le lieu où sont effectués les sous-titrages de films. Les étudiantes se sont également rendues à la régie de montage, puis au studio où les comédiens posent leurs voix.
Pour Madéka Kouadio-Timerman, cette initiative, instituée depuis 2014, est une forme de transmission. « On m’a appris le métier en Europe. Je veux, à mon tour, le transmettre. J’aimerais que les femmes s’y intéressent beaucoup plus. Je vois de nombreux hommes et très peu de femmes dans ce domaine. C’est la raison pour laquelle j’aime organiser cette immersion, à l’occasion du 8 mars, pour rappeler aux femmes qu’elles se sont battues pour cette journée », a-t-elle déclaré.
Et d’ajouter : « J’aimerais que les femmes puissent apprendre ce métier qui n’est pas uniquement réservé aux hommes. Cette célébration est pour moi un moyen d’inviter mes sœurs d’Abidjan et d’ailleurs à découvrir les professions de la post-production ».
Cinékita, fondée en 1996, en France, a ouvert sa représentation en Côte d’Ivoire en 2012. Elle travaille en collaboration avec les chaînes de télévision et les producteurs.
DANIELLE SERI (Stagiaire)
La visite, qui a eu lieu, le 7 mars, au siège de Cinékita, à Cocody, a débuté dans la salle de traduction et d’adaptation. Il s’agit du premier maillon de la post-production où sont traduits les dialogues, les émotions et les intentions des acteurs. C’est le lieu où sont effectués les sous-titrages de films. Les étudiantes se sont également rendues à la régie de montage, puis au studio où les comédiens posent leurs voix.
Pour Madéka Kouadio-Timerman, cette initiative, instituée depuis 2014, est une forme de transmission. « On m’a appris le métier en Europe. Je veux, à mon tour, le transmettre. J’aimerais que les femmes s’y intéressent beaucoup plus. Je vois de nombreux hommes et très peu de femmes dans ce domaine. C’est la raison pour laquelle j’aime organiser cette immersion, à l’occasion du 8 mars, pour rappeler aux femmes qu’elles se sont battues pour cette journée », a-t-elle déclaré.
Et d’ajouter : « J’aimerais que les femmes puissent apprendre ce métier qui n’est pas uniquement réservé aux hommes. Cette célébration est pour moi un moyen d’inviter mes sœurs d’Abidjan et d’ailleurs à découvrir les professions de la post-production ».
Cinékita, fondée en 1996, en France, a ouvert sa représentation en Côte d’Ivoire en 2012. Elle travaille en collaboration avec les chaînes de télévision et les producteurs.
DANIELLE SERI (Stagiaire)