Les filles s'appliquent au jardin botanique de Bingerville. (Ph: Dr)
Éliminatoires Coupe du monde féminine U17 : Ça bosse dur à Bingerville
Accrochées par les Sénégalaises par un score de parité (1-1), les Ivoiriennes préparent activement la manche retour du premier tour des éliminatoires de la Coupe du monde féminine de football des U17.
Adelaïde Koudougnon et sa bande ont entamé la dernière phase de leur regroupement, mardi, au jardin botanique de Bingerville. Les Eléphanteaux doivent impérativement inverser la vapeur à Thiès au Sénégal, si elles veulent accéder au second tour de ces éliminatoires.
« Il faut corriger ce qui n’a pas marché. Maintenant que nous connaissons cette équipe, nous allons bien nous préparer. Nous avons les moyens pour nous imposer là-bas et de nous qualifier », a déclaré la coache des U17 dames de la Côte d’Ivoire.
Au vu du jeu produit lors de la manche aller, les jeunes pachydermes ont démontré à Abidjan qu’elles ont la capacité de faire mieux. Mais chez les hôtes, les Eléphantes doivent redoubler d’efforts en faisant preuve d’efficacité devant les buts. Chose qui leur a cruellement manqués au Champroux.
Elles se sont créées plusieurs nettes occasions de but, une seule a pu être concrétisée. En plus de corriger cette maladresse, la sélectionneuse ivoirienne Aleaïde Koudougnon doit trouver les mots justes pour amener son groupe à rester concentrés jusqu’au coup de sifflet final.
« Il faut corriger ce qui n’a pas marché. Maintenant que nous connaissons cette équipe, nous allons bien nous préparer. Nous avons les moyens pour nous imposer là-bas et de nous qualifier », a déclaré la coache des U17 dames de la Côte d’Ivoire.
Au vu du jeu produit lors de la manche aller, les jeunes pachydermes ont démontré à Abidjan qu’elles ont la capacité de faire mieux. Mais chez les hôtes, les Eléphantes doivent redoubler d’efforts en faisant preuve d’efficacité devant les buts. Chose qui leur a cruellement manqués au Champroux.
Elles se sont créées plusieurs nettes occasions de but, une seule a pu être concrétisée. En plus de corriger cette maladresse, la sélectionneuse ivoirienne Aleaïde Koudougnon doit trouver les mots justes pour amener son groupe à rester concentrés jusqu’au coup de sifflet final.