Galébré/Accès à l’eau potable : Bouaké Fofana lance un vaste projet d’hydraulique urbaine

Bouaké Fofana a posé symboliquement un tuyau de canalisation. (Ph: Minhas)
Bouaké Fofana a posé symboliquement un tuyau de canalisation. (Ph: Minhas)
Bouaké Fofana a posé symboliquement un tuyau de canalisation. (Ph: Minhas)

Galébré/Accès à l’eau potable : Bouaké Fofana lance un vaste projet d’hydraulique urbaine

Le 13/12/24 à 12:53
modifié 13/12/24 à 16:52
Le ministre de l’Hydraulique, de l’Assainissement et de la Salubrité (Minhas), Bouaké Fofana, a lancé, récemment, à Galébré, une sous-préfecture du département de Gagnoa, un vaste projet d’adduction en eau potable.

C’était en présence de Myss Belmonde Dogo, ministre de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, fille de la localité et députée de la circonscription.

Ce programme gouvernemental s’inscrit dans le cadre des grands travaux d’hydraulique urbaine. Le lancement de Galébré marque la première phase de la construction des ouvrages. Elle concerne 95 chefs-lieux de sous-préfecture à l’échelle nationale. Une seconde cérémonie de lancement de travaux est prévue le lundi 16 décembre à Djibrosso, dans le Worodougou.

Le choix de Galébré a été motivé par le fait que la construction du château avait déjà été lancée le 30 juin 2018, par feu le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly.

Bouaké Fofana s’est d’ailleurs réjoui de l’achèvement de l’un des trois forages. Il a, à l’occasion, procédé symboliquement à la pose d'une canalisation.

Le projet d’hydraulique urbaine vise à terme 200 sous-préfectures. Il a un coût estimatif de 133 milliards de F Cfa, et est soutenu par des partenaires techniques et financiers tels que le groupe Mitrelli.

Ce programme est, au dire de Bouaké Fofana, « une réponse concrète et ambitieuse aux défis que rencontrent de nombreuses sous-préfectures. Il permettra à plus 1 500 000 personnes d'avoir un accès sécurisé à l'eau potable, conformément à la vision du Président de la République, Alassane Ouattara, qui ne veut pas qu’un seul habitant de Côte d'Ivoire soit laissé pour compte ».

(Info : Minhas)


Le 13/12/24 à 12:53
modifié 13/12/24 à 16:52