Les participants à la rencontre. (DR)
Ecole et langues nationales : 380 écoles primaires seront concernées
La ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation, Prof. Mariatou Koné, est résolument engagée avec son équipe dans l’enseignement des langues nationales.
A cet effet, un atelier de partage et d’appropriation du modèle de simulation de l’extension généralisée de l’enseignement bilingue a été organisé le 24 juin 2024, à Abidjan.
Représentant la ministre Mariatou Koné, la directrice de cabinet adjoint, Anastasie Kacou Sepou, a annoncé que l’extension de ce projet concernera 380 écoles primaires pour 19 régions après une phase pilote qui a touché 37 établissements. Les régions des lagunes, de N’Zi, de Gbêkê, des Lacs, des Grands-ponts et du Bafing feront désormais partie du projet.
Sur 447 candidats présentés par les écoles bilingues (Elan) à la session 2024 de l’examen du Certificat d’études primaires élémentaires (Cepe), 384 ont été déclarés admis, soit un taux de 85,90 % pour un taux national de 71,28 %.
À ce jour, l’enseignement bilingue utilise dix langues représentatives des quatre groupes linguistiques de Côte d’Ivoire et est pratiqué dans 22 écoles pilotes pour le Programme d’éducation intermédiaire (Pei) et 15 pour Elan. Il s’agit des langues suivantes : Abidji, Agni, Akyé, Baoulé, Bété, Koulango, Malinké, Sénoufo, Toura, Yacouba.
Aussi est-il important de souligner que le projet « Ecole et langues nationales » est mis en œuvre par la Direction de l’alphabétisation des adultes, des jeunes et des enfants (Daaje), et bénéficie du soutien de l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation (Ifef), et de l’Unesco.
Lire aussi: http://Journée internationale de la langue maternelle: Voici les dix langues nationales enseignées dans 37 écoles
Toutes ces réformes s’inscrivent dans la dynamique de l’opérationnalisation des recommandations des États généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (Egena). Ce, afin de contribuer efficacement à la revalorisation de l’offre éducative nationale. Cela concourt également à la formation d’un capital humain de qualité, capable de relever les défis présents et futurs.
Cet évènement a enregistré la participation de plusieurs personnalités, notamment le député Jean-Louis Billon et Saliou Touré, respectivement président de la Commission des affaires sociales et culturelles de l’Assemblée nationale, et président de l’Université de Grand-Bassam.
Représentant la ministre Mariatou Koné, la directrice de cabinet adjoint, Anastasie Kacou Sepou, a annoncé que l’extension de ce projet concernera 380 écoles primaires pour 19 régions après une phase pilote qui a touché 37 établissements. Les régions des lagunes, de N’Zi, de Gbêkê, des Lacs, des Grands-ponts et du Bafing feront désormais partie du projet.
Sur 447 candidats présentés par les écoles bilingues (Elan) à la session 2024 de l’examen du Certificat d’études primaires élémentaires (Cepe), 384 ont été déclarés admis, soit un taux de 85,90 % pour un taux national de 71,28 %.
À ce jour, l’enseignement bilingue utilise dix langues représentatives des quatre groupes linguistiques de Côte d’Ivoire et est pratiqué dans 22 écoles pilotes pour le Programme d’éducation intermédiaire (Pei) et 15 pour Elan. Il s’agit des langues suivantes : Abidji, Agni, Akyé, Baoulé, Bété, Koulango, Malinké, Sénoufo, Toura, Yacouba.
Aussi est-il important de souligner que le projet « Ecole et langues nationales » est mis en œuvre par la Direction de l’alphabétisation des adultes, des jeunes et des enfants (Daaje), et bénéficie du soutien de l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation (Ifef), et de l’Unesco.
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Toutes ces réformes s’inscrivent dans la dynamique de l’opérationnalisation des recommandations des États généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (Egena). Ce, afin de contribuer efficacement à la revalorisation de l’offre éducative nationale. Cela concourt également à la formation d’un capital humain de qualité, capable de relever les défis présents et futurs.
Cet évènement a enregistré la participation de plusieurs personnalités, notamment le député Jean-Louis Billon et Saliou Touré, respectivement président de la Commission des affaires sociales et culturelles de l’Assemblée nationale, et président de l’Université de Grand-Bassam.