GSPM: Que de défis en 50 ans (encadré)

Le commandant du Gspm, le colonel Amorassani Maxime. (Dr)
Le commandant du Gspm, le colonel Amorassani Maxime. (Dr)
Le commandant du Gspm, le colonel Amorassani Maxime. (Dr)

GSPM: Que de défis en 50 ans (encadré)

Le 08/06/24 à 04:06
modifié 08/06/24 à 09:16
En cinquante ans d’opération, le Gspm a été confronté à de nombreux sinistres, dont les inondations, les incendies industrielles et technologiques engendrés par l’expansion exponentielle du développement socio-économique du pays.

Pour le chef de corps, le Gspm a su s’adapter à travers la conjugaison de plusieurs moyens que sont : le rapprochement avec la population, la mise à disposition de l’alerte pompier avec « le numéro vert 180 »,

les formations et les assistances, ainsi que le pré positionnement des engins à certains endroits de la capitale économique. Le concept d’intervention a été redéfini avec l’usage de la digitalisation.

Ainsi, le Gspm dit avoir beaucoup évolué. À sa création en 1974, le bilan annuel d’intervention se chiffrait à 1 500. « En 2011, nous sommes passés à 6 500 interventions pour atteindre 37 920 en 2023. Soit une hausse de plus de 500% », se réjouit le Colonel Amorissani.

Toutefois, certains défis demeurent. Notamment la couverture totale du territoire national.



Le 08/06/24 à 04:06
modifié 08/06/24 à 09:16