
Sam Wakouboué a levé un coin de voile sur les reproches faites à son épouse dans la décision de licenciement signée du directeur exécutif Bourgelat Agré Lynx. (Ph: Dr)
Sam Wakouboué a levé un coin de voile sur les reproches faites à son épouse dans la décision de licenciement signée du directeur exécutif Bourgelat Agré Lynx. (Ph: Dr)
Licenciements à la Mupemenet-CI : Une victime saisit la justice
Bouazo Emma épouse Wakouboué a été licenciée le 22 mai 2024, par la direction générale de la Mutuelle des personnels du ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement technique de Côte d’Ivoire (Mupemenet-CI).
Les responsables de cette mutuelle sociale l’accusent d’« insuffisance professionnelle, falsifications et manipulations de données comptables et intention délibérée de maintenir l’employeur dans l’incertitude ». Une accusation rejetée par son époux Sam Wakouboué.
Face à la presse le 5 juin 2024 à Abidjan-Cocody, le journaliste professionnel Sam Wakouboué a informé la presse d’avoir saisi la justice.
« La gravité de ces accusations que je juge diffamatoires et injurieuses nécessite pour ma part que le directeur exécutif, Bourgelat Agré Lynx, signataire de ces insultes, apporte devant un tribunal pénal la preuve indiscutable de ces calomnies faites. Nous avons donc saisi notre avocat, maître Coulibaly N’Golo Daouda, du barreau de Côte d’Ivoire, qui instruit l’affaire pour la porter devant des tribunaux du travail et du pénal pour que que l’honneur et la dignité de Mme Wakouboué soient rétablis », a annoncé Sam Wakouboué à la presse.
lire aussi: http://Mutuelle des enseignants : La Mupemenet-ci s’engage à tout digitaliser dans les trois prochains mois
Pour lui, il faut que la dignité et le professionnalisme gratuitement attaqués de son épouse « soient rétablis avec à l’appui un dédommagement proportionnel à son Curriculum vitae ».
Le porte-parole de l’intersyndicale du secteur des médias, Sam Wakouboué, a regretté que les accusations portées par la Mupemenet-CI à l’égard de son épouse « pourraient compromettre son embauche dans une autre entreprise de la place, avec ces qualificatifs déshonorants collés de façon délibérée à sa personne ».
Au cours de cette conférence, Sam Wakouboué a levé un coin de voile sur les reproches faites à son épouse dans la décision de licenciement signée du directeur exécutif Bourgelat Agré Lynx. « Il est lui reproché et je cite "un amalgame dans les saisies d’information comme illustrée par le cas de M. Donga Mathurin pour un montant de 138 000 FCfa, édité le 19 mars 2024, et retiré le 2 avril 2024, alors que vous avez affirmé que le chèque a été émis le 2 avril 2024" ».
Sur cette accusation, le journaliste a instruit les médias que son épouse n’a jamais traité le cas du « sieur Donga ». « L’on ne peut donc lui imputer une faute qui n’est pas de son fait. Le cas Donga ayant été traité par sa collègue », a-t-il fait savoir.
Sur le cas des amalgames de saisie qui serait pour la direction une faute lourde suffisante pour son licenciement, il a noté « à toutes fins utiles que dans les documents du service de comptabilité émis par Marie Axelle Houphouët (un employé de la mutuelle), sans grand effort, il ressort un amalgame de saisies d’information que la direction exécutive a jugé utile d’ignorer ».
« En effet, à une page des documents traités par la comptabilité, il ressort un amalgame de saisies d’informations comme illustrées par le cas de M. Kangah Kouassi Théodore, dont le chèque serait étonnamment émis à la date du 9 septembre 2024, alors que nous étions au mois de mai 2024. Et pourtant, la supposée experte du service de comptabilité, nièce du Pca de la mutuelle, très proche du directeur exécutif, n’a même pas reçu une interpellation verbale sur ce cas d’amalgame de saisies d’informations. Et il y en a d’autres ainsi, plein dans le document que nous détenons », a signifié Sam Wakouboué.
En date du 28 mai 2024, le Conseil d’administration de la mutuelle réuni, décide de désavouer le directeur exécutif pour recommander la réintégration des trois dames licenciées y compris Mme Sam Wakouboué.
« Pour notre part, nous déclinons ce gâteau piégé et nous en tenons au licenciement », a rejeté Sam Wakouboué, porte-parole de l’intersyndicale du secteur des médias.
Face à la presse le 5 juin 2024 à Abidjan-Cocody, le journaliste professionnel Sam Wakouboué a informé la presse d’avoir saisi la justice.
« La gravité de ces accusations que je juge diffamatoires et injurieuses nécessite pour ma part que le directeur exécutif, Bourgelat Agré Lynx, signataire de ces insultes, apporte devant un tribunal pénal la preuve indiscutable de ces calomnies faites. Nous avons donc saisi notre avocat, maître Coulibaly N’Golo Daouda, du barreau de Côte d’Ivoire, qui instruit l’affaire pour la porter devant des tribunaux du travail et du pénal pour que que l’honneur et la dignité de Mme Wakouboué soient rétablis », a annoncé Sam Wakouboué à la presse.
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Pour lui, il faut que la dignité et le professionnalisme gratuitement attaqués de son épouse « soient rétablis avec à l’appui un dédommagement proportionnel à son Curriculum vitae ».
Le porte-parole de l’intersyndicale du secteur des médias, Sam Wakouboué, a regretté que les accusations portées par la Mupemenet-CI à l’égard de son épouse « pourraient compromettre son embauche dans une autre entreprise de la place, avec ces qualificatifs déshonorants collés de façon délibérée à sa personne ».
Au cours de cette conférence, Sam Wakouboué a levé un coin de voile sur les reproches faites à son épouse dans la décision de licenciement signée du directeur exécutif Bourgelat Agré Lynx. « Il est lui reproché et je cite "un amalgame dans les saisies d’information comme illustrée par le cas de M. Donga Mathurin pour un montant de 138 000 FCfa, édité le 19 mars 2024, et retiré le 2 avril 2024, alors que vous avez affirmé que le chèque a été émis le 2 avril 2024" ».
Sur cette accusation, le journaliste a instruit les médias que son épouse n’a jamais traité le cas du « sieur Donga ». « L’on ne peut donc lui imputer une faute qui n’est pas de son fait. Le cas Donga ayant été traité par sa collègue », a-t-il fait savoir.
Sur le cas des amalgames de saisie qui serait pour la direction une faute lourde suffisante pour son licenciement, il a noté « à toutes fins utiles que dans les documents du service de comptabilité émis par Marie Axelle Houphouët (un employé de la mutuelle), sans grand effort, il ressort un amalgame de saisies d’information que la direction exécutive a jugé utile d’ignorer ».
« En effet, à une page des documents traités par la comptabilité, il ressort un amalgame de saisies d’informations comme illustrées par le cas de M. Kangah Kouassi Théodore, dont le chèque serait étonnamment émis à la date du 9 septembre 2024, alors que nous étions au mois de mai 2024. Et pourtant, la supposée experte du service de comptabilité, nièce du Pca de la mutuelle, très proche du directeur exécutif, n’a même pas reçu une interpellation verbale sur ce cas d’amalgame de saisies d’informations. Et il y en a d’autres ainsi, plein dans le document que nous détenons », a signifié Sam Wakouboué.
En date du 28 mai 2024, le Conseil d’administration de la mutuelle réuni, décide de désavouer le directeur exécutif pour recommander la réintégration des trois dames licenciées y compris Mme Sam Wakouboué.
« Pour notre part, nous déclinons ce gâteau piégé et nous en tenons au licenciement », a rejeté Sam Wakouboué, porte-parole de l’intersyndicale du secteur des médias.