Droits de l’enfant en Afrique de l’ouest: Gorée Institute prône la formation des acteurs de la société civile
Gorée Institute, centre pour la démocratie, le développement de la culture en Afrique, a organisé un atelier régional de formation, récemment, à Abidjan-Cocody. Cet atelier portait sur les mécanismes supranationaux de protection des droits de l’enfant en Afrique de l’ouest.
Albert Lamine Diatta, chargé du programme mondial du renforcement des organisations de la société civile pour la réalisation des droits des enfants au sein de Gorée Institute, a souligné qu’il s’agit de la formation des acteurs de la société civile dans le cadre des droits des enfants, à l’effet de créer un réseau ouest-africain de protection des droits de l’enfant.
Pour lui, le constat dans la sous-région est qu’au-delà des ratifications des textes internationaux, régionaux, la situation des enfants est encore problématique. « Il y a encore beaucoup à faire. Nous voulons renforcer la société civile et lui donner les outils nécessaires, afin de trouver des solutions idoines pour amoindrir la souffrance des enfants », a-t-il dit.
Doudou Dia, directeur exécutif de Gorée Institute, a souligné que c’est un programme régional axé sur cinq pays, à savoir la Gambie, le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali et la Côte d’Ivoire, en vue de renforcer les organisations de la société civile, pour faire respecter l’État de droit, la démocratie, etc. Également la prise en compte des instruments juridiques, tout en tenant compte des facteurs socio-culturels.
Pour lui, le constat dans la sous-région est qu’au-delà des ratifications des textes internationaux, régionaux, la situation des enfants est encore problématique. « Il y a encore beaucoup à faire. Nous voulons renforcer la société civile et lui donner les outils nécessaires, afin de trouver des solutions idoines pour amoindrir la souffrance des enfants », a-t-il dit.
Doudou Dia, directeur exécutif de Gorée Institute, a souligné que c’est un programme régional axé sur cinq pays, à savoir la Gambie, le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali et la Côte d’Ivoire, en vue de renforcer les organisations de la société civile, pour faire respecter l’État de droit, la démocratie, etc. Également la prise en compte des instruments juridiques, tout en tenant compte des facteurs socio-culturels.